Un sens à la vie [PV Zunô]

Elle avait marché durant presque une journée complète sans s’arréter. Pourtant elle ne semblait pas plus fatiguer que cela. Elle continuer à avancer à un rythme constant.
Parfois des questions lui venait en tête. Que faisai t’elle dans cette atelier ? Où elle se trouvé mainteant ? Où elle allait ?
A chauqe fois qu’elle commencé à chercher une réponse un puissant sentiment d’indifférence la submergé. Mais une autre question venait alors : pourquoi ne rien vouloir savoir ?
Perdu dans cet boucle sans fin, elle avancé encore et encore marchant vers le village de Kumo.
Elle ne savait pas ce que c’était ou ce qu’elle allait y trouver. Elle avait même un doute sur ce qu’était un village. Mais au milieu de toute les question et de toute les directions c’était la seul chose qui semblait clair. En marchant dans cette diretion, elle arriverai à ce Kumo. Elle ne se posait même pas la question de savoir quoi faire après, elle n’était pas capable de prévoir les choses aussi loin. Se fixer un but, même par hasard, semblait déjà être un exploit. Elle s’arréta bien une fois, pour se demander pourquoi marcher ainsi, mais elle trouva beaucoup plus simple de continuer plutôt que de trouver un raison. Elle aura peut-être le temps de réfléchir à ça une fois arriver à destination.

Revenant de son voyage à Suna, Zunô arpentait la longue route principale menant à Kumo. Il savait que cette route était souvent fréquenté par des bandits, mais au vu de ses aptitudes de combat il n’avait pas s’en soucier.
Pour lui tenir compagnie il avait invoqué Kiba, son loup, et tout deux discutaient de chose et d’autre.
Alors qu’il entrait dans un canyon tout prêt de Kumo, il aperçut une jeune femme qui suivait elle aussi la route. Jetant un regard complice à Kiba, Zunô accéléra le pas pour la rattraper. Le femme avançant avec nonchalance, le Raikage la rattrapa rapidement. Arrivant à sa hauteur, il la salua avec un sourire des plus sincère.
« -Bonjour mademoiselle. Vous devriez faire attention, cette route est parfois mal fréquentée. Ce n’est pas prudent pour une femme de voyager seule… et sans arme de surcroit. »

Attendant la réaction de ces propos, Zunô resta à côté de la femme.

Alors qu’elle était toujours plongé dans ses pensés, elle remarqua une personne se trouvant à coté d’elle. Il s’agissait d’un homme, même si ses long cheveux pouvait préter à confusion.
L’homme lui souriait, mais elle ne s’avait pas pourquoi. Elle s’était arréter de marcher sans y faire attention et resté debout à regarder l’autre personne. Elle ne savait pas quoi faire. Et n’avait encore moins d’idée sur ce que lui voulait cette homme.
Dans le doute elle ne fit rien.

Zunô fixa la jeune femme qui ne réagit pas le moins du monde à ses paroles. A son regard Zunô comprit qu’il y avait quelque chose de bizarre chez cette fille. Ne quittant pas son sourire bienveillant, il recula d’un pas et se tint sur ses gardes.
« -Vous allez bien ? » Demanda-t-il d’un ton serein. « Vous semblez un peu désorienté. »
Zunô n’était pas sûr de ce qu’il devait faire. Cette personne donnait une impression étrange. Rien qu’à la regarder les idées devenaient confuses. Elle paraissait à la fois prête à fondre en larme, à s’enfuir, à poser une question dépourvu de réponse,…. Elle avait de toute évidence un problème, mais pouvait-t-elle seulement le formuler ?

Cette fois elle préta plus attention à la personne qui lui parlé. Voyant son visage aimable, elle essaya de mettre la même expression sur son visage. Elle serra les dents et tira les joues afin d’obtenir un sourire pareil que son interlocuteur.
Au ton de ses phrase et à son expression, elle cru comprendre qu’il attendait une parole en retour à ses propos. Ne sachant quoi répondre elle dit le premier mot qui lui passait par la tête :
-Oui.

« Oui » ? Que voulait-elle dire ? Elle était désorientée mais allait bien ? Ou bien répondait-elle à sa première question avec beaucoup de retard….
Dans l’impossibilité de deviner de quoi il s’agissait, il préféra passer à autre chose maintenant qu’il avait son attention.
«- Je me nomme Zunô. J’habite la ville de Kumo où vous vous dirigez. Nous pouvons faire la route ensemble si vous le voulez. Cela sera plus agréable que de marcher seul.
- Grrrrrr, grogna Kiba.
- Ha ! Je l’oubliais. Lui c’est Kiba, mon ami loup, dit Zunô en caressant la tête de l’animal qui lui arrivait à la taille. »

Elle l’écouta mais ne comprit pas toutes ses paroles. Elle passa mentalement en revu les sentiments qui lui passait par la tête sans vraiment parvenir à savoir lequelle elle devait faire passer en avant. L’homme ne lui inspiré aucun hostilité et la chose qui l’accompagné non plus. Elle ressenti d’ailleurs une envie étrange en regardant la bête qui se tenait à coté de l’homme. Ne sachant quoi pensé de cette envie elle laissa cela de coté et se repencha sur les propos de l’homme.
Il semblait être Zunô, du moins c’était ce qu’elle pensait avoir compri. Il avait dit Kumo. Cela était là où elle allait. Il devait certainement vouloir y aller aussi. Voulant l’aider elle tendit le bras droit en direction de Kumo et dit :
-Kumo. Par là.

Voyant qu’elle cherchait à emmagasiner toutes les informations qu’il lui avait transmises, Zunô attendit tranquillement une réponse de la part de la jeune femme. Soudain cette dernière leva le bras droit et dit « Kumo. Par là. »
Zunô fut un peu pris de court par cette réponse, mais en fut également un peu amusé. Elle semblait très spéciale et avoir une personnalité un peu extravagante.
Alors qu’il regarder le bras qu’elle tendait pour lui indiquer la direction de Kumo, il remarqua une chose sur son bras. Comme si on lui avait entaillé la peau pour y faire une marque. En s’attardant un peu il put lire : Kara. Très intrigué par ça, Zunô désigna la marque du doigt et interrogea la femme dessus.
« -« Kara » ? C’est ton prénom ? »

Bougeant juste la tête, la jeune femme posa son regard sur l’étrange marque :
-Ka…ra…., prononça t’elle difficilement.
Bien que ne sachant pas de quoi il s’agissait, elle ne pouvait s’empêcher d’avoir une curieuse impression. Ce mot lui semblait familier bien qu’elle ne savait pas ou elle avait put l’entendre. Une nouvelle fois elle se retrouva perdu dans ses pensé. Elle ne savait pas quoi faire ou répondre. Toutes ces question étaient insoutenable. Chaque question en appelé une autre et faisait ressortir le fait qu’elle ne savait rien. Alors que tout tourbillonné dans sa tête elle ne put retenir d’avantage ses émotions et s’écroula par terre en sanglot.
-Je ne sais pas, sanglota t’elle, je ne sais rien…..

En la voyant ainsi s’effondrer sur le sol, Zunô recula un peu plus et son expression bienveillante quitta son visage. Si cette jeune femme lui avait paru étrange, il était désormais sûr que quelque chose n’allait pas.
Par précaution il activa son byakugan et examina la jeune femme pour déceler un éventuel trouble et aussi pour se prémunir d’une éventuel attaque.

Hrp : tu peux m’envoyer par mp ce que je suis censé voir en regardanr l’intérieur de ton corps ?