[FETE] PV Kara et Zunô : une heure avant la fête.

Après le bonheur qu'elle avait ressenti quand le Raikage lui avait demandé de l'accompagner à la soirée du Kazekage, Kara était très vite descendu de son nuage. En effet, elle s'était renseigné autour d'elle et avait apprit en quoi consisté vraiment une "soirée". Mettre une robe, se coiffer, se maquiller, …. Elle n'avait jamais fait ça ! Heureusement pour elle, a force de poser des questions les servantes du palais avaient décidée de la prendre sous leur aile pour l'aider à se préparer.
-Vous allez accompagner le seigneur Raikage ! Il faut que vous soyez belle.
Répétaient-elles.
Kara n'avait encore jamais était traité de la sorte. Elle fut lavée, coiffée, maquillée, habillée, …. Pendant toute l'après-midi on s'occupa d'elle comme personne ne l'avait jamais fait. On lui apprit même comment se tenir à table et comment danser. Kara trouva tous ça bien plus compliqué que de fabriquer des pantins de combat.
Alors que l'une des servante rajusté le décolleté de kunoichi, on frappa à la porte. Nerveuse comme jamais, Kara alla ouvrir.
Devant elle se trouvait le Raikage. Dans une tenu impeccable, il avait fière allure. D'un geste il lui demanda sa main et elle lui donna en souriant.

Sans lui répondre elle lui donna sa main et le suivit. Elle se sentit très étrange pendant qu'ils marchaient tout les deux dans les couloirs du palais du Kazekage. Elle comprit rapidement que c'était parce qu'elle ne savait pas vraiment quoi faire. C'était la première fois qu'elle se retrouvait dans une telle situation. Elle n'était pas en train de fabriquer un pantin ou en train de s'entraîner, ni d'aller à l'école ou d'aider le village. Cela la déstabilisé un peu.
Alors qu'elle s'interrogeait sur la situation le Raikage et elle arrivèrent à un balcon du palais qui offrait une magnifique vu sur la ville de Suna. Il s'agissait d'ailleurs du plus haut balcon offrant certainement la plus belle vu sur la ville. Kara fut fasciné par ce spectacle. Elle lâcha sans s'en rendre compte la main du Raikage et s'approcha de la rambarde pour admirer au mieux la ville qui s'étendait sous elle. Pendant un instant elle oublia totalement la soirée.