Entrainnement Ichibi maigo

Je m’étais réveillé depuis quelques jours. Le combat Contre Ichibi était fini, mais je sus par la suite que j’étais désormais sa geôlière. Au début, je crus je ne ferais qu’office de barreaux charnel, une sorte de prison étrange et qu’il ne me dérangerait jamais, mais je fus étrangement déçu de l’entendre me parler.

Le tout commença avec le bruit d’une sorte de conscience. Vous savez? Cette petite voix qui vous conseille et vous propose des choses? Cette voie qui vous dit ce qui est bien et ce qui est mal. Et bien j’Ai commencé à en entendre une nouvelle. Elle me disait souvent que je n’étais qu’un monstre. Elle se fessait d’avantage présente durant mes chasses, lorsque j’abattais l’animal pour son sang, parfois sa viande. La voix me disait que j’étais comme ma proie : un animal sauvage bon à abattre.

Ses lorsque que je me rendis compte, grâce à l’intervention d’Akuma, qui en avait marre de l’entendre, que je su que c’était le démon à queue. Le tanuki qui cherchait vengeance. Je décidai alors de ne plus l’écouter. A quoi bon l’écouter s’il ne fessait que me démoraliser? De plus, si je mourrais, serait-il libre?

Aujourd’hui, j’étais descendu pour déjeuner avec mon frère. Aujourd’hui, il y avait à table, une dame avec un éventail. Je ne savais pas qui elle était, mais le vas et viens constant de sa main pour ce faire un peu plus de vent commençais vraiment à m’énerver, sans compter le bruit de la rafale. Pour m’en libéré, j’engloutie rapidement le repas chaud que mon frère avait fait et partie de la maison avec mon escorte habituel pour réfléchir sur les atouts de Ichibi.

Venant avec le Tanuki, il y avait divers pouvoir varier. Je possédais une partie de sa puissance, mais laquelle? Quelle serait les effets de cette puissance? Je possédais une partie des pouvoir d’Akuma, mais elle me rendait dépendante au sang. Mais lui, quelle serait les point positif et négatif?

Après avoir été questionné Tara, j’appris que le démon Ichibi était le démon du sable, du sommeil et du vent. Il contrôlait tant de chose et sans servait pour dévaster le monde. S’il était en moi et que ce que Tara me disait était vrai, j’aurais des chances de contrôler les même choses que lui.

J’essayai de contrôler le sommeille en premier. Dois-je vraiment vous dire que ce fut un terrible échec? Je me tournais alors vers le vent. Je contrôlais déjà l’eau et la terre, désormais le vent? Pourquoi pas?

Je volai un des éventails de la dame vus se matin et repartie avec, toujours escorter des anbu du village. Kakashi voulait éviter quelque chose, mais je ne savais pas quoi. Je me retrouvai percher sous un des bâtiments et commençai à examiner l’objet voler.

Je compris rapidement comment l’ouvrir et comment le tenir pour faire du vent. Je commençai à faire quelque petit courant d’air, rien qui pourrait réellement venir de mon nouveau colocataire, mais je persistais dans mes coups de poignet.

Une mouche vient me déranger, je cherchais à la chasser de ma main, mais bien vite, je compris que j’étais sa cible préféré. Je cherchais à la repousser avec un coup de vent venant de l’éventail, mais rien à faire. Une fois en colère, je ne me concentrai juste sur la disparition du moustique et ses ainsi que je produisis une grande bourrasque qui chassa l’insecte.

Je compris alors que je devais y aller aussi instinctivement que lorsque j’utilisais toute les autres techniques dites ninja.

Explication:

J’avias donc découvert que le sommeille n’était pas dans la liste de chose que je pouvais contrôler, mais le vent si. Pouvais-je contrôler autre chose? Ichibi avait tant de puissance à partager! Pourtant à quoi cela lui serait-il? Il était désormais enfermer, alors que s’il avait été en paix, il aurait été libre.

Je commençais à me demander comment lui parler. Il me parlait, mais je ne pouvais par lui répondre. Comment faire cette communication. Penser? Non trop simple, il devait y avoir une autre solution.

Encore une longue journée sous surveillance, encore une journée à pleurer de l’échec monumental qu’aura été ma tentative d’être apprécier du village. Journée difficile et pour couronner le tout, aucune proie cette nuit, j’avais pourtant chassé plusieurs heure.

Je revenais donc bredouille chez mon frère, quelque temps avant que le soleil ne se lève. Je fermai les grande porte de bois devant ma fenêtre, premier rempart entre moi et le soleil, et alla me coucher après avoir bue une fiole du sang de Tara. Je tombais dans une profond sommeil.

Autour de moi, je voyais une sorte de grande forêt, une forêt plus proche de celle qui m’avais vu n’aitre que celle où je vivais désormais. Je ne fessais que me promener. J’avais une sensation de flotter presque, mon corps ne me fessais pas mal, mais Akuma n’était pas à mes coter.

Je continuai de marcher lorsque j’arrivais dans un espace dégagé. Dans cette espace se trouvait des plantes de toute sorte qui produisais de la lumière, une douce lumière qui semblais provenir du fort intérieure de chaque blanche, une lumière bienveillante et douce.

Je m’aprochait doucement et touche l’un des plantes qui commença à s’égrainer telle un sablier qu’on aurait retourné. Je ne compris pas vraiment ce qui venais de se passer, mais je regardais avec insistance les autre détaille autour de moi. A ma grande surprise, eux aussi commencèrent à se changer en sable. Tout alla si vite que je me retrouvais désormais dans un grand désert. Près de moi se trouvait un tanuki lié au sol par des chaines qui semblaient enflammer par des flammes douces de divers couleur.

Je regardais le tanuki haut de plusieurs mètre et compris immédiatement qui il était. C’était Ichibi, le démon qui avait attaqué mon village. Coucher a plein ventre, retenue par tous ses liens, il me regardait de ses yeux jaunes center d’étoile.

- Tu voulais me parler monstre?

(suite au prochaine entrainement)


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Me voilà donc devant le monstre qui avait tué une partie importante de la population de mon village. Le fameux Ichibi, roi du sable et du sommeil. Cette créature retenue par toutes ses chaines? Il me fessait bien pitié cette bête. Pourquoi temps la maltraiter? Je n’aurais jamais voulu cela, mais on risquait toujours une attaque supplémentaire sur le village s’il était libéré.

-Je suis un monstre seulement si tu l’es!

Je le défiais un peu, je ne voulais pas lui être soumise, je nous voulais égale, libre de nos choix et se respectant mutuellement.

-Tu es ici sans que je le veille!

-Comme si on m’avait demandé la permission pour m’enfermer dans le corps d’une gamine de 10 ans!

-On a fait que se défendre lorsque tu as attaqué le village.

-Il m’aurait attaqué de toute manière.

Je le regardais avec tristesse. Lui parler ainsi ne menais a rien. Je soupirais. Autour de moi, le sable était chaud, mais je ne craignais pas le soleil, étrangement ce dernier ne me brulait pas. Je ne comprenais pas encore que je dormais. Je ne comprenais pas que le Tanuki profitait de ses pouvoirs pour venir me visiter durant ce dernier.

A l’extérieure, on pouvait voir sur sable partie du chemin et remonter jusqu’à la fenêtre de la fillette. Le sable s’immisçait doucement sous les grands panneaux de bois sculpté. Le phénomène était très discret, seul un œil aguerrie pourrait le remarquer.

Je cherchais à gagner sa confiance, peut-être qu’ainsi je pourrais mieux m’entendre avec.

-Bon d’accord, je ne sais pas ce que les ninjas auraient fait, je trouve déjà leur monde suffisamment stupide pour ne pas vouloir mi immiscer…

Le Tanuki me coupa sèchement la parole.

-Ne pas t’immiscer? Tu te fous de ma gueule! Ses toi qui ma achever! Ses toi si ma fait exploser salle sangsue!

-Je ne veux pas être ninja, ça ne veut pas dire que je ne veux pas préserver des gens que j’apprécie en vie! Tu aurais pu tuer mon frère!

-Des gens que tu apprécies? Tu ne vois donc pas les regards qu’il on sur toi? Ils le savent tous! Tous les habitant savent que nous ne formons plus qu’un, plus qu’une seul et unique bête! Ton frère a peut-être voulu te soigner, mais il ta condamner à être une parjure pour le reste de ta misérable vie.

-Si on est une seule et unique chose, pourquoi se combattre? Soyons ami, tu ne trouves pas cela plus logique?

A l’intérieure de la chambre, le plancher était recouvert du la poussière dorée. La femme de ménage de Kakashi allais pas apprécier tout nettoyer. Le sable continuait néanmoins son chemin, se glissant en fin filament sur la structure du lit pour aller sous les couvertures de la jeune fille et commencer doucement à l’envelopper.

-Tu me maintien en toi, tu me prive de la liberté qui met du!

-Si je pouvais te libéré je le ferais, mais je ne peux pas! Je ne connais rien à toutes ses chaines aux flammes de divers couleur!

Ichibi se mit à rire, un rire tonitruant et rauque. Il était sidéré de mon innocence. L’absurdité de sa capture le fessais rire. Moi! Une petit fille qui ne semblais rien connaitre de la vie pouvais dire qu’elle avait mis fin au combat du grand Ichibi! Il n’était pas le plus fort, mais il valait déjà mieux que tous ses maudit ninja réuni. Elle le fessait bien rire, alors il était intéressé à écouter la suite, après l’avoir informé de petit chose.

-Ses chaine sn recouverte de chakra, se chakra me retiens ici. Les couleurs varient selon l’utilisateur, tu vois cette chaine ou les flammes sont plus fortes?

-Oui?!

-Ses celle qui a été fait avec le chakra de ton frère et de se traite de Gyûki!

-Gyû… Quoi?

-GYÛKI!!! Ses le nom du démon de ton frère!

-Mon frère a …. Un démon? Comme toi?

-Biensur!

-Alors tu as un nom toi aussi? Je veux dire Gyûquelquechose existe pas dans les neufs démons, ses Tara qui me la dit, alors toi aussi ta un autre nom?

-Mais bien sûr! On n’est pas barbare! Les humains nous ont nommées sans rien nous demander, il on chercher à nous enfermer, nous assouvir et à nous utiliser à leur propre fin! JAMAIS ils ne nous ont demandé gentiment notre aide! JAMAIS!

-Bon bien on va faire comme frèro! Moi, c’est Maigo! Toi?

Le démon n’en revenait pas de cette innocence, cette joie de vivre malgré tout ce qui se passai autour de la petite, vraiment, il n’y avait rien à faire pour la décourager, il accepta donc de lui dire son nom.

-Shukaku!

Dehors, le sable avais arrêté de monter contre le mur, comme si le temps s’était suspendu.

Le sable qui entourait désormais la jeune fille ne semblait pas l’agacer outre mesure. En fait, elle se retournait même dans son sommeil. Le monstre ne voulait pas éveiller ses soupçons. Espérait-il prendre contrôle de l’être durant son sommeille?

Encore dans ce désert avec le bijuu, je le regardais attentivement détaillant chaque rayure d’un bleu foncé sur son pelage sablonneux. Il m’avait dit son nom, un nom beaucoup plus jolie que le premier qui me fut dit. Je lui souris et m’assis au sol. Mes mouvement manquaient de grâce et témoignais bien de mon effluve sauvage.

-Shukaku ses beau! Plus beau qu’Ichibi!

Je lui souris et le regarda droit dans les yeux, ses yeux dont la pupille était en fait une sorte d’étoile a quatre pointe. Le silence s’installa, laissant place à une nouvelle attention de la part du démon. Il ne comprenait pas mes agissements et cherchait à comprendre, comme si le regard intense qu’il me lançait pouvait percer tous les misères. Il dû se résoudre à l’échec, car il finit par me demander pourquoi j’étais ainsi.

Je lui racontai alors mon histoire. Je lui parlai du rejet constant de mon village natal, village qui avais bien failli me tuer, de la mort de mon tuteur, de mes espoir en venant à Oto, de certaine trahison que j’avais eu de la part de Kakashi, notamment quand il m’avait fait poser le mécanisme pour utiliser le son. Je lui racontais aussi comment le village me voyait à mon arriver.

Il comprit alors que j’avais vécu constamment ou presque en dehors du système ninja. Que je le trouvais stupide et que j’étais plus proche de la nature que bien des humains.

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A son regard devenu moins dure à mon égard, je compris qu’il m’avait accepté. Je n’étais plus une monstre pour lui, je n’étais pas sa geôlière mais une victime au même titre que lui. Je ne m’attendais pas qu’il m’aime instantanément, mais j’étais nécessairement sur la bonne voie.

Je lui souris doucement. J’avais désormais une certaine confiance en lui. Je m’avançais donc vers le tanuki et regardais quelle chaine pourrais lui permet d’être plus libre. Toutes les chaines semblaient être faites pour le retenir au sol. Certain passait même sur son museau.

Voulant montrer un signe de bonne volonté je détachais l’une des chaines qui permit au démon de se mouvoir légèrement. Plus tard, je saurais que j’avais peut-être poussé la confiance trop loin.

Il s’assit et me regarda. Il semblait soulager, mais en même temps, trop fière pour me dire merci. Il approcha sa patte et la plaça au-dessus de moi. Je levais les yeux pour voir le sable de cette même patte tomber sur moi telle de la pluie.

Le noir envahie ma vision et je me réveillais quelques heures plus tard dans mon lit qui était couvert de sable. Je secouais les couvertures pour enlever le sable. Je ne comprenais pas ce qu’il fessait là, peut-être le tanuki qui avait voulu me bercer dans ces bras, mais j’entrepris de l’enlever et je nettoyer mon lit, l’état du sol m’importait peu.

De retour dans ma chambre, je me décidais à faire le ménage. Mon frère était passé et m’avait ordonné de ranger tout le bazar. Je pris donc le temps de prendre le sable entre mes mains et de les mettre dans un seau. J’aurais pu simplement le getter par la fenêtre, mais le soleil aurait brûlé ma peau.

Étant peu patiente, je me rendis rapidement à l’évidence que je ne voulais pas faire le ménage. Je m’assis sur mon lit pour réfléchir. Le principe d’outil m’était aussi incongrus que le principe de faire cuire de la nourriture, je ne pensais donc pas au traditionnelle balai ou encore l’aspirateur.

En réfléchissant je pensais tout a cous a Shukaku, le démon en mon fort intérieure. Je compris alors qu’il pouvait m’aider. Je regardais le sable et pensa très fort à le faire bouger. Je passais un bon 10 minute à le regarder avant que quelque grain de sable ne se lève. Je fus rapidement déranger par une sorte de nounou qui venait me demander si j’avais fini. Le sable retomba au sol, levant un nuage de poussière qui me fit éternuer.

Je me repris pour finir par réussir à lever tout le sable et le jeter à l’extérieure. Je descendis les marcher avec le nuage de sable autour de moi. En descendant, je manquais une marche et tomba. Le sable me fit un lit douillette pour me rattraper et me remettre debout, le sable était désormais mon ami.

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