Maigo : Marque maudite Niv 1 et 2

Note : Ceci se passe avant la mort de Seiya.

Je venais à peine de rentré dans l’Akatsuki. Seiya m’avait fait convoquer. Il devait me parler. J’étais donc partie tout heureuse le voir. J’avais espéré passer un peu de temps avec lui, pouvoir peut-être chasser. Qui sait? C’est donc habiller avec ma nouvelle cape a l’effigie de l’akatsuki que je me rendis dans la pièce ou il m’attendait.

Il me regarda et me parle doucement, il savait que j’avais besoin de réconfort. Il m’expliqua que l’Akatsuki avait besoin d’être la plus forte. Il m’expliqua qui me savait déjà forte, mais qu’il me voulait encore plus forte. Il m’expliqua ce qu’il allait me faire, mais je ne compris pas ce qu’il voulait dire. Il m’expliqua alors de façon plus simple. Il allait faire une marque sur ma peau qui agrandirait ma force, ma vitesse et mon énergie. Il me demanda alors ou je le voulais. Je lui répondis que je voulais sur mon flan.

J’enlevais mon chandail. Ma poitrine était totalement plate, inexistante. Il fallait dire que je semblais n’avoir que 10 ans physiquement. Il a posa ses mai sur mes cote et il apposa la marque. Je fus traversé d’une douleur insupportable. Je résistais tant bien que mal à la douleur, mais je fini tout de même pas sombre dans le noir. La douleur m’avais fait perdre connaissance.

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Je me réveillai dans un lit. On m’y avait emmené après que j’aie perdu connaissance. Une serviette humide sur le front, c’était surement Ashley qui me l’avaient mi. Je baissai la couverture pour voir mes cotes. Cette partie de mon corps me fessait très mal. Comme quand je m’étais battue avec le lynx.

Je cherchais à me relever, mais mes forces n’y étaient pas. Je restais donc coucher sur le lit, laissant mon esprit vagabonder. Les souvenir commencèrent à se bousculer dans ma tête, mon village natal, les chasse, ma rencontre avec Kakashi, Tara, Dagniir, l’attaque d’Ichibi, les commentaires, les bousculades…

Mon cœur se mi a battra plus fort, je sentais une forte brulure sur mon flan. En baissant les couvertures, je vie que la marque s’étendait sur mon ventre et sur le coter, prenant de l’expansion. Le motif ressemblait à des éclairs noirs. La marque c’était réveiller. Je tombais de nouveau dans les pommes à cause de la douleur.

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J’avais repris des forces. Je pouvais désormais me lever sans problème, me promener. J’avais eu peur de tout perdre, mais ça n’était pas arrivé. J’avais réussi à marcher, courir et tout le reste. Le tatou semblait ne plus s’étendre sur mon corps, mais je devais en avoir le cœur nette.

Je sortie du repaire et alla dans la forêt. Je commençais à courir, je courrais jusqu’à temps que je sente mes cote me bruler. La marque se rependait et ma vitesse fut doubler. Peut habituer à cette vitesse, je ne réussis pas à m’arrêter et je fonçai dans un arbre.

Un peu sonné, je me relevais et vis un jeune homme perdu dans les bois. Blesser par le choque, je compris que du sang humain me ferais du bien. Je m’approchai donc furtivement du garçon pour ne pas l’effrayer.

J’arrivais a son hauteur, il releva les yeux et j’eu le temps de le maitriser. Il était fort pour un enfant, mais la marque noir s’étala sur mon corps, me laissant suffisamment de puissance pour le maitriser. Je mordis une artère et but le sang. De normale, je ne buvais pas le sang humain et je ne voulais pas tuer les gens, mais pour une raison quelconque, je ne ressenties pas de remord a la mort de l’homme.

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Mon corps s’était habituer à la marque, je n’avais plus besoin de la craindre. J’avais même appris à l’activer à mon bon vouloir. J’avais appris a contrôle la puissance quelle me donnait, mais plus que cette puissance, quelque chose avait commencé à changer en moi.

Depuis que j’avais tué l’homme, je n’avais plus aucun remord a tuer des gens, enfin, un peu, je ne tuais pas pour rien, mais si je voulais du sang, je n’hésitais pas à tuer. Je m’étais même surpris à manger la chair humaine.

Mon esprit changeait devenais un peu plus sauvage et un peu moins compatissent. Je devais changer cela, je ne voulais pas être un monstre. Je ne voulais pas devenir sans cœur et devenir la méchante de l’histoire. Je voulais simplement vivre heureuse. Je compris alors que c’était difficile et que je devrai lutter pour reste saine d’esprit, mais le mal était déjà fait, une partie de ma lumière c’était éteinte, mais je préserverais l’autre.

Mon esprit devait être préservé du pouvoir, ce contre quoi je me bâtais, ici, a l’Akatsukie, le pouvoir des ninjas qui ne voulaient que leur bien a eu et non le bien collectif.

5/5

Marque maudite niveau 2

La force que me procurerais la marque me rendait de fiers services. Elle m’avait permis de repousser une bande de bandit s’approchant de trop près de notre repaire. Elle m’avait aussi permis de rattraper des proies qui était, jusqu’à lors, trop rapide. En fait, je la trouvais bien pratique, sauf pour la douleur qu’elle m’infligeait a son activation. Les marques en forme d’éclair qui se répandaient sur mon corps produisaient exactement le même effet.

Mais je sentais le besoins de plus de puissance, comme si la noirceur de la marque me corrompait de plus en plus. La nuit, je rêvais d’un ombre dans la nuit qui me poursuivait, une ombre plus puissante, plus rapide, plus dangereuse que moi. Un ombre qui menaçais mon passage et de la quelle je devais me préserver. Une ombre que je devais fuir et empêcher de venir à moi, une ombre qui ne voulait en aucun cas mon bien.

Cette ombre, j’avais aussi l’impression de la croiser à chaque coin du repaire. Ainsi enfermer depuis quelque jours, je commençai devenir folle. Folle de rage folle de tristesse, folle d’ennuie. Folle comme une petite fille qui ne savait plus si le ciel n’était pas le sol et le sol le ciel.

Peut a peut, je sombrai dans un complexe. Étais-je vraiment folle? Était-ce les remord? Était-ce de la paranoïa? Peut-être que l’Akatsuki m’avais fait que de vaine promesse! Et si je n’étais qu’un moyen de pression contre Oto?

1/10

Chaque heure, la rage montait de plus en plus en moi, je cherchais à détruire tout ce qui me tombait sous la main. Je ne comprenais pas pourquoi la noirceur s’emparait ainsi de moi. Je compris quand j’arrachais une partie de mon haut en détruisant une table. La marque se rependait doucement sur mes cotes, les éclaires dansaient dans un rythme propre à eux, poursuivant leur migration vers l’autre côté. Leur déplacement était lent et calculer, voulant me faire souffrir le plus longtemps possible. M’insister a m’auto détruire.

D’ailleurs, une vive douleur me plaqua alors au sol. Je ne pouvais rien faire contre cette décharge électrique qui me traversa d’un point à l’autre. Je hurlais, pleurerais, mais mes appelles restèrent veine. Je ne pouvais plus emmètre un son comme si ma voix s’était enfuit loin de moi. Tout me quittait ses dernier temps : Tara, Kakashi, Dagniir…. Tous m’avaient abandonné à mon sort, il n’est serais pas mieux que mort la prochaine fois que je les croiserais, tuer les être qui vous font souffrir dans l’espérance de les voir détruire à leur tour. Détruire les gens que vous ne voulez plus, les effacer de la terre en espèrent que sa les efface de votre tête du même coup, mais c’était impossible. Les souvenir était bien présent douloureux, blessant, une lame bien affûter qui risquais de se vous blesser à tout moment. J’essayais de hurler, mais seul l’éco d’un couinement de souris me parvint.

2/10

La douleur, je ne voyais plus n’entendait plus ne ressentait plus. Seule la douleur emplissait mon univers. La douleur de la trahison, la douleur de l’abandon, la douleur du rejet la douleur de l’injure, que la douleur.

Tout me fessais mal je sentais parfaitement la forme de chaque os, se fut les premier à me faire mal. L’ombre approchait. Ils me fessaient si mal que je m’attendais à les sentir exploser. Un mauvais sort, un abatage pure et simple, mais pourquoi tant de souffrance j’aurais mille fois préféré un flèche dans la tête que le sort qu’il m’était réserver. Elle était à deux doigt de moi, je la devançais que de quelque fouler.

Ma peau commença a se déchiré, suivie de mes muscles. Sa main se posa sur moi. Pour ne rien arranger, mes cheveux semblaient avoir allongé d’un coup, plongeant dans mes plaies béantes. Elle m’attira a quelle, je luttais pour me défaire de son emprise. Je crachais du sang et perdais ce qui me restait au profit des flaques couleur vermeille qui s’étendait au sol. J’étais piégé dans la douleur, impossible de s’en défaire, impossible d’y remédier, impossible d’y survivre. La fin était proche, je sentais déjà deux masse m’écrasèrent le crane. L’ombre m’avait pris en elle, j’étais sa prisonnière.

Je tombais dans les Méandres le l’inconscience, perdu dans le noir le plus total. Je ne ressentais plus rien, ni bonheur, ni souffrance, tout était fini, je n’avais plus à souffrir, enfin, la délivrance, enfin, je pouvais être en paix. Mère allait vous m’accueillir en cette autre existence?

3/10

Je rêvais, ayant quitté l’inconscience pour un sommeille agiter. Je rêvais d’une forêt qui semblais mourir peut a peu, désertique et mal saine. J’aurais aimé ne pas le voir. Les arbres étaient courbés touchant le sol, dénudé de leur écorce et de leur feuille. Au sol, la terre avais sécher, laissant un paver craqueler et des nuages de poussière sous mes pas. Des tons de gris et de brun recouvrèrent le paysage en entier. Plus loin, un gros nuage noir recouvrai la forêt. De ce nuage s’échappais des multitudes d’éclairs allant frapper le sol et les arbres. Je ne Sias pas pourquoi, mais j’avançais constamment vers ce nuage, comme s’il pouvait m’apporter certaine réponse.

Plus je m’approchais, plus le fraqua des éclaire se transformait en éclat de vois. Je reconnus des villageois du village d’Oto, mon frère, des amis… il me traitait tous de monstre ou me réprimandait pour mes agissement. Plus je m’approchais, plus je sentais la haine monté en mois. En fait c’était la tristesse qui c’était transformer en haine, après tout, la survie était plus sûr en ressentant la haine que la tristesse.

Les arbres se tassèrent doucement laissant apparaitre l’épicentre de toutes ces voies. L’ombre était au centre, elle me hurla à la figure. Un hurlement qui ne voulais rien dire, un hurlement qui ne pouvais que te déstabiliser. Je me sentais rejeter, mal aimer, mais encore plus seul, terriblement seul. Ironies du sort? Surement, après tout, j’avais désormais Shukaku en moi en plus d’Akuma.

Je me recroquevillai sur moi-même avant de pleurer. Mes larme colère le long de mes joues, glissant sur ma peau laiteuse et finissant sur la terrer dessécher. Étrangement, une larme à elle seul sembla suffisante pour ranimer tout le paysage qui se trouvait près de moi. Plus j’abreuvais le sol de mes larme, plus les ténèbres et la peur partait, laissant place à la clarté.

Une homme, a l’image de Seiya, s’approche de moi et me tendit la main. Je la saisie et il m’aida à me relever. Il me prit dans ses bras et me consola, il me consola a me disant que le seul monstre était ceux qui m’avais détruit, ceux qui n’avais pas su voir quel trésor je représentais. Consoler, je pu retomber dans un sommeille profond.

4/10

A mon réveille, je me sentais différente. En essayant de me relever, je ne réussis qu’à mieux m’étendre sur le sol, laissant sur mon sciage quelque éclaboussure de sang. Le sang n’avait pas encore séché. Ce qui m’avait parue un long moment ne semblait pas l’être dans le monde des vivants. Je ne compris pas ce qui m’arrivait. La douleur était encore présente, mais atténuer.

Je remarquai alors que mes sensations n’étaient pas les mêmes. Devant mon vissage se trouvait une longue crinière blanche tirant sur le gris. Par un moyen quelconque, je compris que ces cheveux étaient à moi, mais je ne me souvenais pas avoir fait quelque chose pour faire pousser mes cheveux aussi vite.

Je portais une main devant moi, laissant de coter ses cheveux que je pourrais toujours couper au besoin. Après plusieurs essaye, je réussi à me relever, mes jambe semblais ne pas vouloir devenir droite. Mes pieds ne voulaient pas se poser totalement au sol, me forçant à rester sur la pointe des pieds. Un poids me tirait vers l’avant, une douleur vive au crane, suivie d’une pression me fessais craindre le pire, je m’étais peut-être cogner la tête plusieurs reprise?

En me levant, je me sentais plus grande, plus haute. En me regardant dans le miroir j’eu un choc. Je ne pouvais qualifier ce que je voyais de moi, mais après quelque vérification c’était belle et bien moi. Qu’étais-je devenu?

5/10