Asiku Monorisu
Nom du personnage : Asiku Monorisu
Sexe :Masculin
Age : 17
Taille : 177cm
Poids : 70kg
Couleur des cheveux : Marrons
Couleur des yeux : Verts
Trait particulier :...
Appartenance a un clan : Monorisu
Expression récurrente : Évidement! ...
Affinités principale: Suiton et Raiton
Votre Nindo: Parfois brutal, toujours loyal
Caractère
Asiku est un personnage extraverti qui aime toutes sortes de plaisirs, il aime rit aux dépens des autres et fera tout pour sauver sa peau. Il est aussi intelligent et peut faire preuve d'une réelle allégeance s'il se bat pour une cause qu'il croit juste. Il reste parfois en arrière, écoutant et récoltant les informations dont il a besoin, il aime analyser les gens, pour lui c'est son passe-temps favoris après la dissection de nouvelles choses.
Il aime se donner en spectacle par moments et il aime faire les choses en grand, c'est un maniaque narcissique qui est rassasié seulement par la fin de son projet, ce qui le pousse à en avoir un autre a la muinutte ou le précédent est terminé.
Histoire
Dans une salle sombre, éclairé par la lueur des bougies se tien un homme aux cheveux bruns, il tient dans sa main un scalpel, s'avance vers une table et commence à parler à un autre homme attaché a une table, pied et main accroché à l'aide de menottes de fer, l'homme entièrement nu commence juste à se réveiller alors que celui au scalpel prend la parole.
Bien le bonjour chez ami, je suis Asiku du clan Monorisu et je fais une petite expérience dont vous êtes le centre, pour cela je vais vous conter mon histoire.
Elle commence dans un village je ne sais où, sachez que je ne le sais vraiment pas, j'ai été enlevé par un homme fou, un médecin a la pointe de la folie personnelle, et jusqu'à l'âge de mes quinze ans j'ai cru que c'était mon père. Il m'a toujours éduqué comme son fils, il m'a même appris tout ce qu'il y a à savoir sur la médecine, a l'âge de six ans j'ai découpé mon premier cadavre, je me souviens de ce jour, je tremblais tellement que j'ai dû suturer en zigzag par la suite, vous vous rendez compte? bien sûr que non-évidement, suis-je bête, en bref c'était mon seul lien de parenté et une icône pour moi. Dans le village de Suna l'eau n'est pas en abondance vous vous en doutez, mais malgré cela je n'en aie jamais manqué, peuvent importe les saisons, j'avais soif bien sûr et surtout chaud, mais dans cette région c'est normal.
Asiku agita le scalpel devant le nez de l'autre homme.
Dis-moi tu as déjà découpé un cadavre? c'est fou comme notre corps et complexe, et surtout faible, j'ai tué mon premier être vivant à dix ans, un animal, rien de bien méchant, je l'ai découpé, j'ai gardé ses organes dans ces bocaux-là. Le jeune homme montra plusieurs bocaux sur une étagère.
Souvenir, je suis sur que vous comprenez, et vous savez tout ceci n'était rien, vraiment rien, aucune sensation, j'étais brisé de l'intérieur, je ne me sentais pas vivant, sans compter sur le fait que je ne voyais jamais le jour, ce père fou m'interdisait de sortir, et son explication était plutôt hasardeuse, j'étais celons lui allergique au soleil et je pouvais contracter de violentes brulures si je sortais. Maintenant je me dis que j'étais vraiment un con de croire cela. Quand il m'a dit qu'effectivement j'étais adopté il m'a aussi dit que c'était pour mon bien, je suis l'héritier d'un clan qui peut faire de grandes choses, mais ma famille ne voulait pas se servir de ses pupilles à ses justes valeurs, du coup il a préféré m'entrainer a l'abri des regards pour développer mon vrai potentiel, je me doute que c'était un mensonge mais bon, je n'allais pas le tuer pour si peut après tout.... en fait si, je l'ai attaché comme vous êtes attaché et je l'ai disséqué vivant, mais avant cela il a vraiment tenté de s'échapper, il courrait vite en plus, et grâce à lui et mon envie de le tuer j'ai pu débloquer mon don, je peux dorénavant sentir une trace de sang sur plusieurs centaines de mettre, je l'ai alors traqué, mutilé et finalement ramené ici OU JE L'AIS DÉPECÉ VIVANT!
Asiku s'éclaircit la gorge un instant.
Désolé je me suis laissé emporter, je disais donc que je l'ait finalement tué, fâcheuse fin mais ce n'est pas ce qui compte, quand je lui ai porté ce coup de grâce je me suis enfin senti vivant, comme si un souffle de vie passait au travers de mon corps, cette sensation était immense! et comme tout le monde le sait la médecine n'avance pas toute seule, donc dorénavant au lieu de faire mes expériences sur des cadavres je prends des gens vivants qui s'aventurent trop loin ou dans la nuit, un accident est vite arrivé vous savez. En bref je les tue et ensuite je fais ce que j'ai à faire, il se trouve que cette fois-ci on est au cœur de cette expérience, je me demandais si en vous livrant mes souvenirs et vous expliquant pourquoi je fais cela vous seriez capable d'accepter votre sort, c'est pour la science ne l'oubliez pas.
L'homme attaché se mit à gigoter dans tous les sens, son bâillon l'empêchant de crier.
C'est bien ce qu'il me semblait, c'est une expérience avorté... tant pis je vais devoir quand même vous ôter la vie, n'y voyez rien de personnel la dedans.
Asiku plongeât sa lame dans le corps de son cobaye encore vivant et fit ce qu'il appelle son œuvre, il le découpa en petit morceaux et examina chaque muscle un par un...