Entrainement Vitesse [Suzuki Amano]

Si je voulais égaler mon père, il fallait que je commence les entrainements : augmenter ma vitesse était donc ma priorité. J’ai donc décide donc de me rendre sur un centre d’entraînement. Malgré les ninjas déjà présents, j’ai choisi un endroit assez éloigné pour ne pas être dérangé. J’aperçus un arbre assez éloigné qui me cacher du soleil

« Cet endroit est correct »

J’observais l’arbre de plus près, il était grand, je dirais quinze mètres environ. Je pris un peu d’élan, puis je fonçai à toute vitesse en direction de cet arbre, mais, durant la monter, mon équilibre était instable et ma vitesse était très réduite. Je mis un certain temps avant d’arriver au sommet de cet arbre. Je constatais donc que j’avais un manque de concentration et de capacité. Je décidai de saute de l’arbre et de recommencer. Avant ma nouvelle tentative, je m’encourageais avec un seul mot.

« Encore ! »

Je me remis donc dans la même position que la première fois, et ressaya à nouveau, de monter à toute vitesse dans cet arbre. Mais comme pour ma première tentative, ce fut pour moi un lamentable échec. Je recommençai et recommençai mon action jusqu’à ce que je sois satisfait de mes capacités. Cela pouvait prendre autant de temps qu’il fallait, a chaque fois je me relever pour continue. À chaque nouvelle tentative, je me répétais en boucle le même mot, de façon féroce, mais qui me permettais de garder espoir

« Encore… » « Encore… » « Encore… » « Encore !! »

L’entraînement durait déjà depuis quelques heures, et pouvoirs remarquer que le soleil était en train de se coucher, mon corps commencé à faiblir, je forçais beaucoup trop dessus. Mais j’étais trop détermine pour perdre espoir. J’ai retenu ma respiration, ferme mes yeux, puis d’un seul coup… Puis je repartis en direction de cet arbre, qui avait les marques de mes précédents essaies ,Mais mon corps et mon esprit était cette fois si bien plus détermine que les tentatives précédentes, je grimpais avec la seule conviction, celle de me dépasser, Puis sans m’en rendre compte sur le coup, j’étais déjà tout en haut. Je souris sans le vouloir, de façon nerveuse, puis laissa mon corps tomber sur une des branches pour me reposer, J’ai atteint mes limites, et, avant de tomber de fatiguer, j’ai pu me réjouir de dire une phrase…

« J’ai réussi Père… »

Validé, +10 en vitesse

J’avais encore les marques de mon dernier entrainement, mais au lieu de me lamenter sur ma douleur, elle fit l’effet de m’encourager, et de m’améliorer davantage. Je décidai donc de changer d’exercice et d’expérimenter sur les kunais. Je retournai donc à cet arbre avec qui je m’étais familiarisé. Je pris quelques kunais disponible sur le camp, et me dirigea vers ma destination

« Travaillons déjà le terrain »

Je m’étais approché de l’arbre pour y faire trois croix, pour symboliser les cibles, elle était tout séparer de quatre mètres de distance. Ensuite je traçai des limitations sur le sol, toute de plus en plus éloigner de l’arbre. Le but de cet entrainement consistait à augmenter ma vitesse grâce au Kunai toute en étant précis.

« Voyons de quoi je suis capable »

Je me plaçai donc à la dernière limite fixe, puis je fonçai vers l’arbre. À chaque repère, je lancai un Kunai sur les cibles. Après avoir parcouru une certaine distance, je fus un peu essouffle, c’est après avoir repris mon souffle et en relèvent ma tête qu'évalua le résultat. En plus d’un manque envident de vitesse, je remarquai que j’ai touché aucune des cibles. Je ne baissa pas les bras, je récupérai les Kunai puis me replaçai au début du parcours

« Mauvais…Recommence »

Comme pour la dernière tentative, je refis le schéma exact. J’ai donc continue mon entraînement jusqu’à accorder Précision et Vitesse dans un duo parfait. Je recommençai et recommençai avec toujours cette même détermination qui me pousser à continuer. Je devais tenir ça de mon père, lui, ne faiblissait jamais, et réaliser toujours les buts qu’il s’était fixe.

« Mauvais…Mauvais…Mauvais !! »

Une sorte de rage commença à prendre le dessus sur moi, ce qui n’arrange pas les choses, au contraire, elle les empiraient:Je ne touchai même plus l’arbre. J’ai naturellement compris que ce n’etait pas la meilleure idée, j’ai donc décidé de m’asseoir quelque minutes… Je pris le temps de me calmer… Puis, mon corps, c’était lever tout seul, et je recommençai à sourire bêtement. Je pris une grande respiration… Puis je fonçai à toute vitesse vers cet arbre. Cette fois si je remarquai que quelque chose avait changé, j’allais plus vite et j’avais un certes confiance en moi. Arrivé au bout, je relevais ma tête et remarquai-je, j’avais enfin réussi a toujours les cibles comme je me l’étais fixe. Je remarquai ensuit que l’entraînement avait duré jusqu’au coucher du soleil. Il était grand temps pour moi d’aller me reposer

Validé, +10

Cela faisait environ quelques jours que je n’étais pas sorti de chez-moi, mon corps se remettait peu à peu des exercices qu’il avait encaissé. Alors que je me promener chez moi voir s’il avait des restes à manger dans mon frigidaire, il m’est venu une nouvelle idée d’entraînement. Il fallait que je fasse les cours, tout en m'entrainant. J’ai donc réfléchi à un moyen de faire les deux en même temps. Je pris un grand sac que je remplis de quelque babiole de quoi augmenter son poids. Puis je me dirigeai vers le marché de quoi pouvoir tenir, question nourriture, un bon moment. Une fois que les courses vu termine, je me dirigeai vers le centre d’entraînement. À ma grande surprise, il n’y avait quasiment personne au centre, beaucoup de terrain était libre. J’abandonnai mon arbre préféré pour cette fois-ci.

« Voyons de quoi je suis capable désormais »

Je commençai à me placer sur la ligne de départ, mon objectif était de faire un tour de terrain vide et de calculer mon temps, puis de battre ce temps avec le sac rempli. Je me donnai à fond est fit plusieurs tous de terrain pour optimiser le meilleur temps possible : je commençai à deux minutes et quarante-cinq secondes, puis arriver à un résultat convenable de deux minute pile, pour un total de huit cent mètres de parcours. Je commençai donc à enfiler mon sac, et, avant de commencer, je regardai le soleil pour calculer l’heure et de ne pas être surpris comme les entraînements précédents, j’avais estimé qu’il était quatorze heures. Je commençai donc à me positionner et prêt à partir.

« Ne faiblit pas ! »

Je fonçai à toute allure à travers le terrain, je remarquai que le sac était vraiment imposant et qu’il me faisait extrêmement mal au dos, ce qui influa sur ma vitesse, à la fin de mon tour, je regardai mon temps : Quatre minute et vingt secondes. Ce fut un premier et lamentable échec mais ne n’est pas sa qui va m’empêche de continue, Avec ma célèbre détermination , je recommençai et me cria dessus pour me motiver encore plus


« Ne faiblit pas…Ne faiblit pas…Ne faiblit pas »

Alors que cela faisait plusieurs heures que je m’entraîne. Je remarquai que de plus en plus de monde me regarda et m’observa pendent mon entraînement. Je n’y prêtai pas attention malgré que plus entrainement duré plus il y avait de mondes. Ce n’est qu'à la fin de la journée quand la lune se trouver au-dessus de moi que je pue commencer à me concentrer, il n’y avait enfin plus personne. Et je trouvai enfin cette force qui permit de danser mes capacités. Je ne remarquer même plus la distance parcours et ne prêtais plus attention au sac sur mon dos. Je vu empatter du résultat, non seulement, j’avais réussi mon objectif même, j’avais battu mon propre record de base. Cette victoire me réjouit et vu le signal qui m’indiqua de rentrer avant que mon corps s’effondre par terre



«Fini... »

Entraînement Validé. +10 en vitesse.