- Temari ma chère, pourrais-je t'inviter à partager un repas avec moi un jour? Je ne mange que de la viande sauvage mais sait-on jamais tu pourrais y prendre goût. Lorsqu'elle me déclara qu'elle était heureuse de m'avoir rencontré, j'en rougis. Mon intention n'était pas de la draguer ou quoi que ce soit mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'elle était surement la plus belle fille que j'avais vue de ma vie et qu'elle disait elle même ouvertement être souvent courtisé et pourtant elle se montrait des plus heureuse de m'avoir rencontré. C'était comme si elle m'annonçait que sans le savoir, je valais mieux que la plupart de ces garçons.
Différent ? Pourtant je dois bien admettre que je suis moi aussi sous ton charme, mais simplement... je ne pense pas à ce genre de choses en permanence et je considère que du haut de mes 14 ans, je suis trop jeune pour envisager autre chose que de l'amitié. J'espère que jamais je ne te paraîtrai jamais trop lourd pour te tenir avec moi.
J'admirai son sourire un instant avant de lui sourire à mon tour " vous avez un très beau sourire." Les séchoirs à viandes commençaient à sentir. Le soleil ne cuisait pas assez rapidement pour avoir une condition idéal aujourd'hui. Un des serpents sorti de mon sac sans que je ne m'y attende et aussitôt je lui coupai la tête. "Y'en a toujours qui font semblant... Je coupai aussi les sonnettes " Pardonne moi Temari de toute les apprêter devant toi mais plus rapidement je les apprêtes et plus vite ils sont cuit" Je me nourrissais aussi bien de serpent que de scorpions ou de pangolin. Certaines bête même si comestible demandaient plus de temps de préparation que raisonnable pour être manger. Je sortis d'une autre poche de mon sac une brochette. C'était un petit lézard du coin. Ce lézard vivait tel un paresseux : toujours étendu sur une roche ou une branche à dormir. Néanmoins l'animal était si tendre et frêle que tout de son corps était comestible, jusqu'à sa tête !
- Tu as faim ?
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Ryûgan Kazehana
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Lun 28 Nov 2016 - 9:40
Ryûgan Kazehana
Première rencontre - FlashBack
Il était vraiment charmant, uniquement par sa façon de parler. Je savais que c'était quelqu'un qui était très intelligent et qui savait quoi dire aux bons moments. Faisait-il par exprès pour me parler ainsi ou étais-ce naturel ? Je l'ignorais, mais j'espérais que ce soit naturel Il avait une personnalité hors du commun et je crois vraiment qu'il est une bonne personne, malgré le recul qu'il désire prendre avec le village pour ses projets personnels. Il me demanda alors s'il aurait le droit de m'inviter manger un de ces jours. C'est en hochant la tête, le sourire aux lèvres, que je lui donna une réponse affirmative. Ce serait un plaisir pour moi d'aller manger avec ce prodigieux personne un beau jour.
Haki affirma alors qu'il avait également un faible pour moi, mais qu'il ne songeait pas à l'amour dans l'instant. J'étais pareil. L'amour, à notre âge, n'était pas quelque chose d'important. Je pourrais presque dire que ce n'est qu'une source supplémentaire d'ennuis. Un jour viendra où nous aurons à nous initier là-dedans, mais ce jour est loin d'être venu. C'est alors qu'il complimenta mon sourire, qu'il disait ''beau.'' Je ne fis que sourire encore, simplement, sachant qu'un simple ''merci'' ne convenait pas.
Il s'excusa donc de s'occuper des serpents devant moi. Je n'étais pas faible d'esprit et voir ce genre de chose ne me dérangeait point. Au contraire. Je prenais du plaisir à le voir entretenir la viande de serpent de cette façon. C'était tout nouveau pour moi et je dois avouer que j'aimais la facilité qu'Haki prenait à retirer la peau des serpents. Le jeune garçon me proposa donc de manger, ce que je n'allais pas refuser. Je commençais à ressentir la faim et que tester ce genre de goûté ne serait pas de refus.
« Je veux bien essayer de nouvelles choses. Pourquoi pas, après tout. »
Je pris alors une brochette qu'il m'offrit et la contempla un moment, avant d'en prendre une bonne bouchée. C'est impressionnant comment c'était bon, malgré le fait que je savais exactement que cette... chose avait vécut, quelques heures auparavant. Je comprenais mieux pourquoi il aimait tant manger ces brochettes. Ce fut un pur délice.
« C'est vraiment délicieux ! J'aimerais qu'il y en ai chez moi. Le goût est tout simplement sensationnel. »
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Lun 28 Nov 2016 - 10:15
Invité
Lorsqu'elle affirma vouloir essayer, je lui tendis la brochette. Cet animal était vu comme un "parasite" dans les environs un peu comme les chats errants ou comme les fourmis. À l'exception près que cet animal était des plus paresseux et qu'il mangeait des choses très petites toute sa vie et vue la taille de la bestiole, une souris devait être l'affaire d'une journée à digéré. Cet animal était si lâche que son système digestif s'était adapté afin d'extraire tout les liquides de la proie et en faire leur équivalent d'eau. La plupart des gens voyaient ces animaux comme des toxines vivante mais une fois transpercé et cuit, le sang s'écoulait et la viande se dé-infectait". C'était comparable à aucune autre viande et ça nous permettait de survivre dans le désert alors pourquoi pas.
Je fus agréablement surprit de la voir autant apprécier cela. Moi qui craignait que ma nourriture ne convienne pas au palais de la princesse. À quoi avais-je pensé ? Elle était konoichi après tout ! Elle avait été habitué à se nourrir de peu et à s'adapter à l'environnement aussi.
- Je t'en rapporterai si un jour on se revoit, nous ne risqu'on pas d'en manquer, ces bestioles viennent jusqu'à Suna alors imagine le désert ! Personnellement ce que je préfère manger c'est du "Petit Dragon". Ça croque légèrement sous la dent mais sans plus une fois bien apprêté ou alors, on peut le manger vapeur et c'est tout aussi délicieux.
Je la regardais sourire de plus en plus et cela me faisait l'effet d'un compliment sorti de sa bouche. Je finis d'apprêter mes serpents et pigea dans le gros bol pour en sortir le plus long.
- C'est toi mon repas ce soir ! Je reportai mon attention vers la belle Temari " J'espère que jamais tu ne me verras dans mes moments difficiles car j'apprécie notre complicité"
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Ryûgan Kazehana
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Date d'inscription : 24/02/2012
Jeu 1 Déc 2016 - 7:11
Ryûgan Kazehana
Première rencontre - FlashBack
Bien que c'était un peu dégoûtant de connaître exactement ce que l'on mangeait, ça ne retirait pas le fait que c'était bon. Les brochettes d'Haki étaient cuites à la quasi-perfection, ce qui rendait la nourriture inoffensive. J'adorais manger ce qu'il me proposait, car c'était du nouveau que je n'avais jamais vraiment eu la chance d'expérimenter. Cela faisait que je passais une excellente journée, malgré le fait que ce n'était pas du tout prévu. Bien entendu, je devais bientôt penser au retour, car mon père ne tarderait probablement pas à envoyer une équipe pour me récupérer. Il s'inquiétait beaucoup pour moi, étant sa seule fille. Pour Gaara et Kankurô, il ne se faisait pas vraiment de soucis, car ils étaient tous les deux extrêmement surveillés. Par contre, étant la plus vieille de ses enfants, j'étais souvent partit. Sans dire où, malheureusement.
Haki n'arrêtait pas de me regarder, comme s'il m'admirait. J'avais l'habitude de me faire regarder de la sorte, donc ce n'était pas une grande première. À force, je n'étais plus bien capable de définir le niveau d'admiration chez les garçons qui me regardait ainsi. Malgré tout cela, il était si différent des autres. Il avait cette façon d'agir qui me laissait quelque peu perplexe. Une attitude que je n'avais que rarement côtoyé dans mon coin de pays. Peut-être malgré lui, le jeune homme avait un don pour attirer les gens, dû à sa présence et sa vivacité d'esprit. Un don rare de nos jours, mais tellement plaisant.
Il me dit alors qu'il espérait vraiment que je ne vois pas dans ses ''moments difficiles.'' J'ignorais de quoi il parlait en affirmant cela. Puis, j'ai repensé aux histoires de sa famille. Des fous. Parlait-il de délires ? Je l'ignorais totalement, mais il est vrai que je ne voulais pas le voir dans ce genre de situation. Pour éviter de changer d'avis à son sujet. Je le trouvais tellement sympathique. Devoir changer ma façon de le regarder serait probablement quelque chose de très décevant.
« Ne t'inquiète pas. Si tes ''folies'' arrivent durant ma présence, je n'en ferai pas un drame. J'adore notre complicité également et rien ne pourra la changer. Du moins, je l'espère sincèrement. »
C'est alors que j'ai levé ma tête vers le ciel, sachant très bien que l'heure avançait. J'étais en retard sur mon itinéraire et probablement que les troupes de mon père étaient déjà partit à ma recherche.
« Je devrais songer à retourner à mes quartiers. Une équipe de mon père doivent être déjà en route pour me ramener. Je dois t'avouer que je suis perdue. Tu voudrais bien m'aider à retrouver mon chemin ? J'ignore si tu es occupé ici. Si tu préfères rester, tu n'as peut-être qu'à m'indiquer le chemin à prendre... ? »
Code ▲ RomieFeather
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Jeu 1 Déc 2016 - 9:54
Invité
Lorsqu'elle m'assura qu'elle n'allait pas m'abandonner comme tout les autres l'avaient fait avant même de me donner ma chance, je fus content au point d'en avoir un sourire large (ce qui était plutôt rare chez moi vue que j'avais un visage à peu près aussi expressif et mécanique que mes marionnettes). Elle mentionna adorer notre complicité. Il fallait dire que c'était plus qu'étonnant pour moi que d'avoir ce genre de complicité puisque je n'étais pas habitué à avoir des amis. Les relations les plus seines que j'avais étaient académique : avec mes sensei. J'étais content de bien m'entendre avec elle puisque ça me créait une lueur d'espoir dans mon coeur. J'analysais le moindre de ses gestes et tic involontairement, ce qui me poussait à avoir une idée de ce qu'elle pouvait bien penser. Puis, lorsqu'elle leva la tête pour vérifier l'heure je compris que ce beau moment s'apprêtait à prendre fin avant même qu'elle ne dise quoi que ce soit.
- J'espère aussi que nous serons toujours aux côtés l'un de l'autre même si un jour tu deviendras surement reine et que moi je resterai ici. Je ne me plaint pas de ma position, mais j'aimerais pas que celle-ci m'empêche de garder contact avec toi. Pour ce qui est de te reconduire, ce sera avec le plus grand des plaisirs ! N'hésite pas à revenir me revoir ma chère Temari.
Je me levai et enjamba le pas afin qu'elle me suive et que je la guide jusqu'à une rue ou une allée qu'elle saurait reconnaître. Soudainement, deux gardes nous tombèrent dessus. Alors que je discutais simplement avec Temari sur le chemin du retour, ils me menacèrent tout les deux comme si j'avais commis l'irréparable en la kidnappant. J'attendis donc une réaction de la part de Temari puisque je ne voulais pas aggraver mon cas en me defendant avec ma marionnette.
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Lun 28 Nov 2016 - 9:08
