Entraînements mécanismes Eizo

Spoiler:

Eizo avait passé la nuit à dessiner des plans à la lumière de la petite lampe installée sur son bureau, à l’intérieur de son atelier.

S’il avait sacrifié son temps de sommeil, c’était cette fois au bénéfice d’une idée concernant un mécanisme qu’il pourrait installer sur ses pantins : un qui permettrait, dans une certaine mesure, de nullifier les dégâts faits par les jutsu raiton à une marionnette équipé de ce système, et il avait trouvé comment accomplir cela : il suffisait d’installer, à l’intérieur de la marionnette, une tige en métal qui attirera toute source d’électricité frappant le pantin, et qui dirigera le tout à travers la marionnette jusqu’au sol. De plus, le gros avantage lié à un tel système est justement qu’il attire les jutsus raiton, et que donc ses effets de se limiteraient pas à des attaques lancées sur la marionnette, mais attirerait aussi les attaques lancées sur une autre marionnette voire sur le marionnettiste, à condition que ceux-ci soient assez proches.

Cette tâche prit donc à Eizo toute sa nuit, puisque même une fois l’entièreté du mécanisme dessiné et de sommaires tests d’installation performés sur des bouts de pantins détachés (tels des bras ou des jambes), il fallut également qu’Eizo fassent des tests sur des plaques de métal différentes, pour voir laquelle conduirait le mieux l’électricité, et donc serait apte à attirer les attaques électriques dans un rayon le plus grand possible.

Au moyen d’une batterie, Eizo conduit ses tests pendant plusieurs heures (certes, il aurait pu juste attendre le levé du jour et emprunter un lire à la bibliothèque sur le sujet, mais non seulement Eizo n’avait pas la motivation de faire cela, mais en plus il trouvait que c’était plus amusant de le faire directement).

Il installa donc un petit circuit électrique avec, comme dit précédemment, une batterie, la barre de métal, et une petite lampe. Observer les résultats d’une telle expérience (aussi enfantine soit elle) consistait uniquement à observer avec quelle barre de métal dans le dispositif la lampe brillerait le plus et s’allumerait le plus vite.

Des métaux testés (le Cuivre, le Zinc, l’Aluminium et l’Argent), ce fut l’argent le grand gagnant, et Eizo décida de s’en servir comme élément conducteur de son dispositif. Il rangea alors tout le désordre qu’il avait cause dans son atelier, et sorti d’autres pièces détachées, d’un pantin cette fois, qu’il commença à monter, dans le but d’y installer le dispositif auquel il avait pensé, et de le tester plus tard, une fois le montage réussi.

Une fois avoir fini de monter le pantin et son prototype de dispositif sur celui-ci, Eizo décida de ne pas directement lancer des jutsus sur le pantin pour tester le dispositif, tout simplement car il faudrait trouver un shinobi, non seulement capable de maîtriser le raiton, mais qui en plus accepterait d’aider le marionnettiste dans cette tâche.

A la place, en extérieur bien entendu, Eizo ayant entre temps relocalisé sa personne et le pantin jusqu’au terrain d’entraînement, il avait préparé quelque chose d’autre pour vérifier si son prototype était apte à fonction.

Ce « quelque chose d’autre » consistait simplement en un générateur d’électricité mobile, branché à une rallonge dont la prise avait été tranchée, laissant les bouts des fils à nu. A partir de là, il suffisait de faire tenir la rallonge au pantin non loin de là où la barre d’argent dépasse, et enfin de mettre en marche le générateur, pour voir si l’électricité qu’il produit est attirée, ou non, par la barre de métal du pantin.

Eizo s’exécuta, mit en marche le générateur, et attendit plusieurs heures, afin de tester au mieux l’efficacité de la résistance, heures qu’il mit à profit en finissant de lire un livre traitant de la médecine moderne.

Lorsqu’il estima qu’il fut temps, Eizo stoppa le générateur, rangea un peu tout ce dont il s’eut servi durant son expérience, et entama sur place d’allonger son cobaye sur le sol et de le démonter.

Le premier signe de sa réussite fut une chaleur extraordinaire qui s’échappa de l’intérieur de l’homme de bois, c’était le signe que la barre d’argent avait bel et bien (et beaucoup) chauffée, et que cette montée en température avait été causée par l’électricité qu’elle faisait circuler jusqu’au sol.

Le deuxième signe de la réussite du marionnettiste fut que la barre en argent avait un peu fondue.

Fort satisfait de sa réussite, Eizo valida ses plans, disposa du pantin (bien qu’il récupéra la barre en argent qui pourrait être réutilisée à l’avenir), et reparti chez lui, dans le but non pas de travailler directement sur un autre plan, mais de profiter de son temps libre pour se reposer un peu.

Spoiler:

Une fois de plus, Eizo était en train de dessiner des plans sur le bureau de son atelier, ignorant le fait que son horloge indiquait déjà qu’il était plus de quatre heures du matin. Bien qu’il est naturel pour Eizo d’avoir des idées soudaines et de travailler à leurs réalisations pendant des heures durant, ces temps-ci, cela lui arrivait bien plus souvent que d’accoutumée.

Cependant, bien entendu, il n’en avait absolument rien à faire et si cette pensée avait été présente dans son esprit, il s’en était déjà débarrassé en la jetant dans les plus profondes abimes de sa mémoire. Enfin bref, cette fois-ci, il travaillait sur un projet relativement similaire à son dernier, celui sur le para foudre, qui consistait cette fois non pas à absorber des dégâts de jutsus raiton, mais des dégâts de jutsus katon. Pour cela, Eizo avait pensé à installer des parois dépliantes sur les membres d’un pantin, que celui-ci déplierait et placerait comme bouclier en face de lui pour que les panneaux dépliants en questions se prennent les dégâts à la place du reste du corps du pantin, et qu’ils dévient les flammes.

Et donc il avait passé de longues heures à dessiner les plans de tels panneaux. Et le plus gros obstacle, quoi que loin d’être insurmontable, était le système qui permettait aux panneaux de se déplier, étant donné qu’il fallait penser à un système fiable, solide, et suffisamment rapide à se mettre en place. Et finalement, après six heures (entrecoupées de pauses cola pour rester éveiller) de travail acharnées, Eizo parvint à résoudre ce problème en rajoutant un support arrière au panneau, qui pouvait être aisément actionné et utilisé non seulement pour déployer les panneaux, mais aussi pour les supporter.

Fort de son accomplissement, le marionnettiste entama de monter son prototype sur un pantin d’entraînement qui avait déjà été monté en avance, en prévision d’une de ses inspirations soudaines. Pour éviter de gaspiller trop de temps (et de ressources au cas où le mécanisme ne se trouve être inefficace), le manipulateur n’aménagea que le bras droit de l’homme de bois, avant de se résoudre à devoir, en fait, attendre le levé du jour pour réquisitionner un Genin adepte du Katon qui pourrait l’aider à tester son système.

Eizo soupira, et entama de lire un livre traitant du choléra.

Validé pour le premier

« Bien, on va pouvoir commencer. »

Suite à ces paroles de la part d’Eizo, le Genin d’Iwa à qui il s‘adressait hocha la tête sans prononcer un mot, et étant à deux bons mètres de sa cible, effectua quelques mudras, et se prépara à lancer sa technique Katon sur la cible mentionnée un peu plus haut, une marionnette qui était équipée sur son bras droit de panneaux dépliants qui en théorie seraient capables de nullifier les dégâts d’une technique Katon.

Le nom du Genin était Osamu Hakagawa, et ce matin même, alors qu’il se préparait à aller s’entraîner, il fut interpellé par le Chuunin Eizo Kuromaku, qui lui demanda son aide pour une courte période de temps dans la matinée.

Après cela, Eizo le conduisit jusqu’à un des terrains d’entraînement, un plutôt petit par ailleurs, mais qui ne l’empêchait pas d’être bien équipé, où se tenait, dans un coin, un pantin.

Eizo lui dit alors que la seule chose qu’il avait à faire était de lancer des techniques Katon sur le pantin lorsqu’il lui dirait de le faire, mais de ne viser que le bras droit de l’homme de bois.

Après cela, le marionnettiste fit se relever la marionnette, l’emmena jusqu’au centre du terrain et fit se placer Osamu juste en face. Dans la suite, il la fit placer son bras droit perpendiculairement à son corps, et la fit déployer des panneaux installés sur son bras, qui formèrent une fois le déploiement terminé comme un genre de bouclier.

« Katon housenka no jutsu ! »

Prononça simplement le Genin, et plusieurs boules de feu vinrent s’abattre sur le bois du pantin. Cependant, même après avoir encaissé les huit boules de feu créé par le Genin, les panneaux de bois ne présentaient aucun signe de faiblesse, uniquement des traces du passage des orbes brulantes.

« Hum, les panneaux résistent, ils encaissent bien… comme je le pensais. Hum, Osami, je te libérerais après cela, lance un Katon Endan cette fois-ci, s’il-te-plaît. »

‘Sauf que mon prénom est Osamu’, pensa le Genin en soupirant. Bien qu’il aurait aimé faire la remarque à son supérieur, il n’en fit rien et exécuta les mudras nécessaires au lancement de la technique demandée.

« Katon Endan ! »

Dit-il, avant de cracher une énorme boule de feu. En temps normal, la technique aurait enveloppée le pantin et ce malgré la protection de son bras droit, mais il dirigea la technique de telle sorte qu’elle n’atteigne que le bras droit en question.

Comme Eizo s’y attendait, l’attaque fut encaissée par sa marionnette sans problème.

« Ça devrait suffire… Tu peux disposer, merci d’avoir accepté d’être mon assistant pour cette séance. »

Dit-il au Genin.

« Si tu penses que je peux t’être d’une quelconque aide, viens me voir. En souvenir de cette journée, je te porterais volontiers assistance. »

Celui-ci, légèrement confus de par la teneur des propos, acquiesça, et s’éloigna après avoir dit « au revoir » à son supérieur.

Et le supérieur en question ne perdit pas de temps pour constater l’état de sa marionnette, ou plus précisément du mécanisme installé dessus. Il l’observa quelques secondes, et en conclu qui avait quand reçus certains dommages, mais qu’un tel dispositif pourrait très bien encaisser bien plus d’attaques du type de celles qu’il avait déjà reçu.

Largement contenté, Eizo entreprit de transporter la marionnette jusqu’à son atelier.

Validation de l'entrainement, ton mécanisme est intéressant, j'ai hâte de faire face à ton personnage pour tester cet élément de ta marionnette

Spoiler:

Une fois de plus, pour ne pas faire dans l’originalité, Eizo se trouvait encore à dessiner des plans sur le bureau, dans son atelier. A la lumière de ses dernières idées, c’est-à-dire faire encaisser le mieux possible à ses marionnettes des techniques de différents éléments. Il avait déjà trouvé pour des attaques Katon et Raiton, et bien qu’il ait pris tout l’après-midi pour y penser, il ne parvint pas à trouver de contre-mesure aux techniques Suiton. Au final, il dut abandonner pour l’instant, et préféra se concentrer sur quelque chose de légèrement plus facile à penser, c’est-à-dire une contre-mesure aux techniques Futon.

Effectivement, il trouva cette tâche bien plus facile à réaliser, puisqu’il devait juste penser à comment dévier du vent, et il ne mit ainsi qu’une demi-heure à trouver une idée : installer des carénages sur son pantin, afin que les attaques Futon soient détournées du pantin.

Depuis lors, c’est-à-dire depuis environ vingt-trois heures et quinze minutes, jusqu’à minuit dix, il était donc occupé à dessiner des plans.

Cette fois faire les plans avait été bien plus court que les autres fois puisque le marionnettiste avait juste à designer les carénages, puis à dessiner comment les appliquer sur une marionnette.

Comme d’habitude, une fois cela accompli, il entama de fabriquer les pièces, à partir de bois (bien qu’il ait pensé à différent modèles de différentes matières, Eizo préférait utiliser la ressource qu’il possédait en plus grande quantité, afin de limiter les pertes dans le cas d’un échec du modèle), ce qui prit tout de même du temps. Il termina vers trois heures du matin, ayant fabriqué des carénages pour les deux jambes et les deux bras de son pantin.

Au vu du temps qu’il lui restait avant la levée du jour, période durant laquelle Eizo irait tester son mécanisme, le marionnettiste commença à se poser la question de comment il allait pouvoir tester son mécanisme. Bien sûr, il lui restait toujours l’option de demander à quelqu’un de l’aider, mais c’était loin d’être la méthode qui plaisait le plus au manipulateur.

Finalement, sur le coup de trois heures-et-demi, il réussit à trouver une idée, et entama de préparer un sac de voyage.

Et donc Eizo, qui n’avait pas dormi une seule minute de toute la nuit, se trouvait avec un énorme sac sur le dos ; à faire ce qui semblait être de la randonnée en pleine montagne, et il progressait sans problème sur la piste, malgré le fait que la route soit très inclinée, petite, et pourvu d’un nombre conséquent de pierres sur le sol, et le vent fort qui soufflait en ces lieux ne semblait pas le perturber un tant soit peu dans son ascension.

Avant de partir, il avait bien entendu préparé ses affaires, c’est-à-dire quelques livres à lire, un repas, et les pantins dont il se servirait pour tester l’efficacité de ses prototypes.

En effet, une fois qu’il eut préparé ses affaires la veille, il pensa que partir avec un seul prototype serait du temps perdu si jamais le dispositif se retrouvait être un échec.

Il passa donc le reste de sa nuit à designer plusieurs modèles de carénages, pour au final en obtenir deux supplémentaires (chacun plus ou moins incliné que le premier) qu’il installa sur deux autres pantins, les trois étant empilés dans son énorme sac, l’alourdissant considérablement, mais pas au point que cela soit impossible à transporter pour le marionnettiste.

Il arriva finalement en haut de la montagne, sur une sorte de petit terre-plein idéal pour prendre un piquenique les jours où le vent ne soufflait pas trop fort, bien qu’aujourd’hui, cela serait les conditions idéales pour que le marionnettiste teste ses marionnettes.

Il posa son très grand sac au sol, et en sorti une des marionnettes, celle avec le premier prototype de carénage.

Le test, pour Eizo, sera simplement de faire se déplacer sa marionnette dans le vent. S’il n’a pas trop à forcer pour la faire accomplir des mouvements dans telles conditions, le prototype réussi le test.

Et il débuta l’expérience en question. Il fit effectuer à sa marionnette différents mouvements, comme imiter une course, attaquer dans le vide, tenir en équilibre sur l’une des branches de l’arbre unique résidant en ces lieux (qui étrangement n’a jamais montré de signes de faiblesses face aux rafales de vents)…

Les résultats du test démontrèrent que le prototype était efficace, mais le fait qu’Eizo ait eu à forcer un minimum plusieurs fois pour que son pantin exécute certaines actions le suffit à tenter l’expérience avec le deuxième modèle de pantin. On ne sait jamais après tout l’un des deux autres modèles pourrait s’avérer bien plus efficace.

Il répéta donc la même « routine » qu’avec le premier pantin, avec le second. Celui-ci se retrouva, à pouvoir opérer sans problèmes, peut-être même mieux que le premier, dans un vent fort. Cependant, le fait est que, contrairement au premier modèle, celui-ci failli tomber en recevant une des rafales de vent lorsqu’il dû faire face à celle-ci sur la branche de l’arbre.

Eizo soupira, il avait de plutôt grands espoirs pour ce modèle-ci… Mais il ne se découragea point, et commença à effectuer la même chose avec le troisième pantin, équipé d’un modèle de carénage différent.

Mais ce prototype fut un total échec, puisque le manipulateur eut besoin de forcer pour faire en sorte que le pantin effectue les actions demandées en subissant la contrainte du vent, c’est presque comme si le pantin n’avait pas du tout de carénage installé sur lui.

Le marionnettiste nota donc sur son carnet de poche que le modèle le plus efficace était le premier, et après cela remis les pantins dans le sac. Après quoi il s’adossa au tronc de l’arbre, pensant que partir tout de suite serait dommage puisque l’air ici était, bien qu’horriblement fort, extrêmement rafraichissant, et il sorti son repas de son sac, avant de commencer à le déguster.

Entrainement validé.
J'ai bien remarqué que ton personnage n'a pas fermé l'oeil de la nuit, j'aurais bien rajouté des moments ou mon personnage se serait assoupi la bave au lèvre avec l'intensité du travail en cours =)

HS: effectivement, ç'aurait été logique, mais ce n'est juste pas le style de mon personnage ^^. Il n'arriverait probablement pas à s'endormir tant que sa tâche n'est pas terminée x)

Spoiler:

Cela faisait déjà depuis quelques temps qu’Eizo y pensait, cependant, récemment, l’idée lui revenait de plus en plus en tête. L’idée en elle-même était d’installer un réservoir de poudre sur un pantin, pour se servir de la marionnette comme d’un explosif ambulant.

Et cette fois, Eizo avait décidé de mettre cette idée en application. En bien moins de temps qu’à son habitude, le marionnettiste avait dessiné des plans, ceux d’une petite boîte pouvant contenir suffisamment de poudre à canon pour provoquer une explosion décente, et qui pouvait être fixée à l’intérieur d’un pantin. Etant donné la taille de la réserve, l’installer dans n’importe quel membre du pantin serait aisé, mais étant donné qu’Eizo avait également conçu des plans de versions plus grandes de cette boîte, les modèles étendus seraient bien plus facilement installables dans le torse de la marionnette. Enfin, cette boîte obligatoirement en un matériau qui ne laisse pas s’infiltrer l’humidité, afin que la poudre à l’intérieur puisse exploser même si le pantin se trouve sous la pluie. L’explosion, elle, est provoquée par une impulsion de chakra de la part du marionnettiste.

Donc, après avoir terminé de dessiner ses plans, Eizo installa un modèle de ce mécanisme sur un pantin d’entraînement, mais avant de tester l’efficacité du produit fini, il décida d’abord de tenter de faire brûler avec son chakra de plus petites doses de poudre à canon, afin de voir à quelle intensité l’impulsion de chakra doit être pour faire en sorte que la poudre à canon s’enflamme, sans avoir à utiliser trop de chakra pour une impulsion.

Ainsi, il prépara une dizaine de petits tas de poudre à canon, le tout sur une table à l’extérieur de son atelier. Le manipulateur se mit en face de l’un des tas, plaça sa main au-dessus de celui-ci, et envoya sur le tas de poudre, à travers sa main, une impulsion de son chakra. Cependant, visiblement, l’intensité de l’impulsion n’était pas assez forte, et la poudre ne s’enflamma pas.

Puisque ce tas avait déjà reçu du chakra et que retenter de lui administrer du chakra fausserait sans doute l’expérience du manipulateur, il se mit en face du deuxième petit tas, et répéta la même opération qu’avec le premier tas, en intensifiant légèrement l’impulsion envoyée.

Ecore une fois, ce fut un échec, et Eizo essaya avec le troisième tas. Il répéta l’opération faite précédemment, toujours en intensifiant l’impulsion du chakra, et cette fois, ce fut un succès, puisque d’un coup la poudre s’enflamma.

Eizo rangea la poudre restante dans un petit sac, en prenant cependant soin de se débarrasser de celle qui avait déjà reçu du chakra, au cas où il en reste et que la poudre à canon ne s’enflamme.

Après cela, il partit chercher le pantin équipé de la réserve de poudre, afin de tester le dispositif.