AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% sur le Lot de 2 écrans PC GIGABYTE 27″ LED M27Q
429 € 539 €
Voir le deal

 :: Paperasses :: Les rp et missions Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Eizo Fuyusaki - Mission de rang A - S'aventurer dans les anciens tunnels sous Kumo

Han Naoe

Fiche du shinobi
Point de vie:
Eizo Fuyusaki - Mission de rang A - S'aventurer dans les anciens tunnels sous Kumo Left_bar_bleue1500/1500Eizo Fuyusaki - Mission de rang A - S'aventurer dans les anciens tunnels sous Kumo Empty_bar_bleue  (1500/1500)
Points de chakra:
Eizo Fuyusaki - Mission de rang A - S'aventurer dans les anciens tunnels sous Kumo Left_bar_bleue1500/1500Eizo Fuyusaki - Mission de rang A - S'aventurer dans les anciens tunnels sous Kumo Empty_bar_bleue  (1500/1500)
Points RP:
Points RPValeurValeur
Points SociauxPoints Sociaux800
Points de CombatPoints de Combat500
Points de MissionPoints de Mission520
Points d'EventPoints d'Event0
Han Naoe
Membre
Messages : 263
Date d'inscription : 28/09/2013
Sam 16 Sep 2017 - 20:54
Han Naoe
Intitulé de la mission:

Une cigarette en bouche et un plan en tête, tout de noir vête comme à son habitude, Eizo s’avança dans cette petite ruelle obscure des bas-fonds de Kumo. On n’y trouvait jamais rien de particulier dans ce petit lieu, en dehors d’une entrée dissimulée à la vue de tous vers les sous-terrains du village, si on savait où regarder. Actuellement, il y avait aussi autre chose, quatre hommes qui attendaient patiemment proches d’un petit local à poubelle, tous vêtus simplement comme des voyageurs. Voyant Eizo arriver, ils le saluèrent comme on salue un supérieur, en s’inclinant bien bas. Ce premier reconnu en eux des alliés de qualité au sein de son clan, en qui il pouvait avoir confiance pour réaliser la tâche qu’il leur avait confier. C’étaient des informateurs.

Si le conseiller se trouvait en des lieux aussi peu recommandables en ce jour, c’est parce qu’il était parvenu à ses oreilles il y a quelques semaines déjà que le marché noir avait des nouveaux venus, et plutôt doués. En tant que gentleman, Eizo possédait plusieurs intérêts dans le commerce sous-terrain de Kumo par lequel il faisait venir plusieurs des marchandises qui lui étaient utiles. Il avait même fait en sorte de consolider cette économie officieuse pour qu’elle ne se résume pas en un agglomérat de criminels si gênants qu’ils seraient arrêtés sitôt découverts. Alors aujourd’hui, ils parvenaient à faire profil bas ; des criminels en général si peu gênants qu’on accepterait de fermer les yeux si jamais on les rencontrait. En fait, l’autorité d’Eizo politiquement et dans le milieu des affaires avait beaucoup joué dans cette histoire, au-delà de ses manipulations économiques. Quoi qu’il en soit, les contrebandiers lui étaient redevables. Mais certaines règles avaient dû être instaurées pour sécuriser le réseau, et les nouveaux venus non seulement n’étaient pas au courant mais avaient refusés de l’être, préférant tout faire rapidement pour s’enrichir en un éclair. Cela posait un double problème : ils déréglaient l’économie souterraine et même l’économie régulière, en plus de rendre le réseau complet un peu plus visible.

Alors il lui fallait agir le plus rapidement et brutalement possible. Mater les dissident, protéger ses intérêts tout en rappelant à tous les tunnels qui était le patron. Il allait lui même prendre en charge cette affaire. Mais pas sans préparation tout de même. Encore une fois, les nouveaux étaient doués. Il se cachaient bien, aux yeux de tous, et s’étaient protégés par un système bien rodé, bien huilé, sans faille, en fait leur installation avait été si rapide qu’on puisse douter qu’il s’agisse de leur coup d’essai. Ils étaient expérimentés, c’est certain. Tels des rats, ils se cachaient dans le complexe souterrain, sans doute dans des tunnels qui jusqu’alors demeuraient inconnus. Alors Eizo avait fait jouer tous ses réseaux pour les dénicher. Il avait eu au cours des derniers jours plusieurs rendez-vous avec ses contacts, avait déterminé chaque élément d’information qui pouvait être important. Ce réseau fonctionnait purement par messages interposés, la prise de contact passait par « réputation », c’est-à-dire que du bouche à oreilles se faisait pour faire parler du réseau. Lorsque certaines personnes se montraient particulièrement réceptifs à cette publicité, les contrebandiers parvenaient à rentrer en contact avec elle par message écrit. Cette méthode discrète et nécessitant de bonnes capacités de filature prouvait l’existence de shinobis au sein de ce commerce. Un « entretien constructif » avec certains des acheteurs, identifiables plus facilement que les vendeurs, révélait qu’à partir de là, il était révélé à l’intéressé un lieu, jamais le même, où déposer sa réponse avec sa commande. Par la même méthode indirecte, le réseau reprenait contact avec lui quelques jours plus tard avec un reçu. Les échanges se faisaient : l’acheteur déposait la facture autre part, et en une vingtaine de minutes, avant qu’il ne s’en rende compte, il avait été livré au même endroit où il avait déposé son argent. Quant à savoir ce qu’ils faisaient aux mauvais payeurs, c’était une réponse encore inconnue. Quoi qu’Eizo croyait déjà connaître la réponse.

Alors il avait magouillé en faisant arranger de tels échanges à ses informateurs, et grâce à ses talent d’intrigant il observait minutieusement les scènes des échanges pour relever des traces, aussi infime soient-elles, du passage du ou des contrebandier. Sauf qu’en soit, ça n’avait pas réussi. Des traces étaient laissées, mais aucune n’avait été conclusive ni suffisamment développée pour conduire Eizo jusqu’au repaire des malfrats. Mais les traces lui prouvaient bien, au moins, que ce n’était pas une quelconque technique de ninjutsu étrange qui était utilisée pour échanger la recette avec le bien. Il avait ainsi eut une autre idée, celle de piéger cet intermédiaire. Une opération très délicate mais largement réalisable pour quelqu’un avec ses compétences. Il avait fait en sorte rentrer en contact lui même avec le réseau, sous un déguisement bien sûr afin de ne pas éveilleur leurs soupçons, pour passer commande d’un vin rare que les contrebandiers prétendaient posséder. Passant les premières étapes de la rencontre, il déposa son paiement à l’endroit indiqué dans un tunnel périphérique aux conduits principaux employés par le reste des commerçants, non pas sans y laisser une de ses marionnettes, faisant figure d’un mendiant. Comme il lui avait été indiqué par les criminels, il se posta non-loin, à un endroit où il ne pouvait pas voir le lieu de rencontre.

Son plan fut rapidement mis en action lorsque, comme il l’avait prédit, le shinobi du réseau voudrait se débarrasser de tout témoin potentiel. Même sans avoir de contact visuel avec la scène, son ouïe fine lui permit d’entendre une lame trancher net du bois. Celui de son pantin. Et le bruit d’une lame s’entrechoquant avec du fer aussi, celui de l’armature de la marionnette. Sa réaction fut immédiatement de déclencher le système de détonation de cette dernière. Un grand bruit retenti, sans doute au déplaisir et à le surprise de son adversaire. La portion du tunnel dans laquelle il se trouvait s’effondrait sur lui. Heureusement, ces conduits avaient été bâtis pour être très résistants et pour être en partie assez indépendants structurellement les uns des autres, afin que l’effondrement d’un d’entre eux n’entraîne pas la chute de tout le réseau. Une fois l’éboulement calmé, Eizo utilisa le Kuchyose pour convoquer sa compagnonne d’armes, Arachné, créature de la terre qu’il envoya déblayer l’éboulement en profitant de sa résistance corporelle pour se prémunir contre tout éboulement supplémentaire. Elle ramena le shinobi et les restes de la marionnette en laissant le tunnel tel quel, car on ne pouvait pas s’attendre à dégager aussi simplement un éboulement. Ayant fait prisonnier le ninja, qui s’était suffisamment protégé de l’explosion pour ne pas être réduit en charpie, mais qui avait été surpris par l’éboulement et presque tué par les chutes de pierre, Eizo n’eut plus qu’à le confier à ses informateurs qui avaient une certaine expérience en torture. De son côté, il lui fallait réparer son pantin pour se préparer à la rencontre, qui devait se faire vite pour ne pas que les cibles déguerpissent vers un autre tunnel obscur. Eizo comptait sur ses subordonnés pour obtenir l’information le plus rapidement possible.

Une demi-journée plus tard, c’était chose faite. Apparemment, le prisonnier était un assassin doué, un nukenin d’ailleurs, mais aussi un individualiste de premier ordre, qui préférait avoir la vie sauve plutôt que de rester fidèle à son réseau ; c’était ça l’avantage quand on faisait face à des groupes qui n’agissaient que pour s’enrichir. Mais c’était aussi un professionnel, qui ne savait pas à qui il avait affaire. Il avait craqué facilement en espérant sans doute attirer ses ennemis dans un guet-apens réalisé par ses alliés. Mais c’était précisément ce que voulait Eizo. Une fois les informations bien en tête, reçues de ses subordonnés face à cette entrée dissimulée dans cette petite ruelle de Kumo, il distribua des instructions simples à ses informateurs, qui savaient tous se battre sans être des experts de la bataille, car la tâche d’informateur est dangereuse. Ils devaient l’accompagne le temps des repérages de loin, qui se déroulèrent sans accroc. Une fois les sorties potentielles de la cachette repérées, ils y furent postés avec une seule instruction : « abattez les fuyards ». Il fit venir aussi sa petite milice privée d’une quinzaine de shinobis, postés en permanence dans les tunnels, pour lui faire prendre part au combat.

Eizo lui-même se rendit devant l’entrée principale du campement, à une certaine distance pour ne pas être aperçu. Le camp en question était situé en cul de sac d’une galerie assez large, et en partait les deux galeries qui constituaient des points d’évacuation potentiels. C’était un espèce de petit fortin avec des murs en bois, gardé par des patrouilleurs sur les remparts en matériaux de récupération, bouts de bois et morceaux de pierre. La stratégie d’Eizo était simple : capitaliser sur ce que l’ennemi ne savait pas de lui, en dépit des préparations que celui-ci avait sans aucun doute réalisé.

Il précipita deux de ses marionnettes vers la forteresse de seconde main, tout en restant lui-même dissimulé. Instantanément, des flèches fusèrent pour les percuter, trois : une dans l’épaule gauche et le bras droit du premier, et une autre dans son torse en plein ventre, l’autre dans la tête de la seconde. Eizo fit mine de la faire s’écrouler au sol tandis que l’autre poursuivit sa route, ralentie un instant, mais suffisamment pour déclencher un piège des contrebandiers : un ninja, sortant de l’ombre, se retrouva en un instant face au pantin. Pour Eizo, c’était l’occasion de véritablement lancer l’offensive, lorsque l’adversaire précipita sur celui-là une énorme boule de feu, qui alla même prendre la forme d’un dragon de flammes. Eizo ne fit même pas effectuer à sa marionnette de manœuvre d’esquive, elle fut engloutie par les flammes. Les choses se calmèrent. Plusieurs shinobis adverses et autres ennemis moins professionnels s’approchèrent de ce qu’il pensaient être des corps. Ils eurent le temps d’être surpris en se rendant compte que ce n’étaient que des hommes de bois. Dans l’incompréhension, le kuujutsu étant une capacité rare, ils furent bientôt engloutis dans un écran de fumée émanant de la bouche d’un des deux corps. La fumée envahi la scène, masquant tout et jetant les ennemis dans une certaine confusion. On pouvait entendre des injonctions de la part des contrebandiers : « qu’est-ce qu’il se passe ?! », « On est attaqués, d’où est-ce qu’ils viennent ? » ; phrases accompagnées d’une voix un peu plus autoritaire quoique dissimulant une certaine panique : « Restez groupés, gardez les oreilles ouvertes ! ».

Eizo sourit, et activa le mécanisme de détonation de ses deux marionnettes. Son embuscade à lui ne venait pas de l’extérieur, mais bien de l’intérieur des rangs ennemis, c’était là l’art de sa stratégie. En un instant, la fumée fut dissipée dans un déluge de flammes, engouffrant bien des hommes. c’était ce qu’Eizo avait deviné aux cris, en tout cas. La déflagration calmée et laissant derrière elle les ravages de l’explosion ainsi que plusieurs corps, plus ou moins en bon état, et des survivants bien amochés. Derrière la barricade, légèrement plus loin, de nouveaux visages se pointaient pour observer la scène, et se rendre compte de ce qu’il s’était passé. Eizo n’attendit pas une quelconque réaction de leur part pour précipiter immédiatement une troisième marionnette vers les remparts de fortune. Quelques projectiles fusèrent pour l’arrêter le temps que les gardes se remettent de leurs émotions, mais trop tard. La marionnette s’écrasa violemment contre les remparts, les faisant même trembler quelque peu de son poids seul, et Eizo la fit exploser en un instant. La déflagration emporta les remparts, désolidarisant les matériaux qui la constituait, et projetant dans l’air des fragments de bois et de pierre.

L’explosion achevée, Eizo constata le résultat : un beau trou bien large avait été taillé dans les fortifications. Content de lui, il parut aux yeux de tous en s’approchant, calmement, de l’entrée qu’il venait de faire. Souriant légèrement, son expression paraissait cruelle associée à son regard qui ne trahissait un caractère impitoyable. A mi-chemin de la forteresse, de laquelle sortaient désormais plusieurs contrebandiers, une dizaine au bas-mot, il s’arrêta tandis qu’il se faisait encercler. C’est un homme au teint sombre, d’âge mûr et au visage balafré qui s’approcha pour lui faire face, tandis que ses sbires avaient levés leurs armes pour se tenir prêts à lui porter atteint si l’ordre leur en était donné. Il allait parler, mais d’un ton menaçant et posé tout en étant provocateur, le marionnettiste fut le premier à prendre la parole, surprenant toute son audience. D’autant plus qu’il ne bougeait pas les lèvres et que la voix semblait venir d’un dispositif de microphone attaché à son cou

« Bienvenue au spectacle de votre punition messieurs, amusez-vous bien. »

Et alors, des galeries surgirent la milice d’Eizo, armes en main et prêts à faire face à leurs adversaires. Le combat s’engagea rapidement, le marionnettiste et le présumé chef des contrebandiers se faisant toujours face. Celui-ci fut le premier à agir, dégainant une masse d’armes colossale attachée dans son dos et l’abattant d’un coup sur « Eizo ». Il ne réagit pas, il laissa son visage craqueler, s’effondrer, le bois se rompre ; pour révéler l’intérieur vide d’un pantin. Un des pantins d’Eizo plus précisément, pas son propre corps de pantin bien sûr : sa peau s’effrita pour révéler de la beau durcie qui avait été employée pour réaliser ce déguisement, au moyen de la technique du masque de terre qu’Eizo avait pris soin de développer. Une nouvelle fois, il activa un mécanisme de sa marionnette, pour la faire partir en un nuage de flamme qui enveloppa son adversaire, avant finalement de paraître à partir d’une des galeries accompagné de ses six autres marionnettes.

Son adversaire avait été grièvement blessé par l’explosion, tandis qu’un à un ses sbires chutaient sous les coups des mercenaires des Fuyusaki. Il ne restait plus à Eizo qu’à s’occuper de cet homme. Positionnant deux de ses pantins à ses côtés, quatre en avant des lames sortis, il les précipita dans la mêlée pour asséner des coups à l’ennemi. Il s’en défendit, projetant grâce à sa force phénoménale portée dans ses coups de masse dévastateurs, en dépit de ses blessures, deux des quatre pantins loin de lui. Le troisième, il esquiva son coup à peu près, se faisant lacérer la cuisse droite. Il porta un coup au quatrième de haut en bas, brisant sa tête de bois. Usant de la force de son pantin, Eizo lui fit saisir la masse, la bloquant dans la structure de la marionnette. Dans le même temps, les bras des pantins situés aux côtés d’Eizo levèrent leurs bras en direction de l’adversaire momentanément immobilisé, et des nuées de kunais en émergèrent pour aller directement transpercer cet ennemi. Il eut la réaction de se protéger en se servant du corps du pantin au bout de sa masse. Il encaissa quelques projectiles de cette façon, mais ils étaient si nombreux qu’il s’en reçut cinq dans le torse, les épaules et les cuisses. Eizo acheva son assaut en faisant exploser le pantin au bout de la masse de son adversaire, qui fut plus réactif et la lâcha pour échapper à l’explosion. Le souffle le projeta quand même et le rendit vulnérable à des salves de kunais supplémentaires, qui vinrent pénétrer sa chair avant même qu’il n’ait touché le sol.

Faisant preuve d’une ténacité rare, il survécu, bien que son corps ait été transpercé de multiples fois, calciné en plusieurs points, lacéré. Il se releva, et un silence s’installa une seconde. Eizo attendit patiemment d’ailleurs, curieux de voir ce que ferait son ennemi, ou même de voir s’il ferait quelque chose, car il pouvait mourir à n’importe quel moment vu son état. Alors son adversaire réalisé quelque chose de prodigieux : il s’élança en avant, en un instant il se retrouvait proche du marionnettiste. Il avait rassemblé toutes ses forces dans cet assaut, et même employé la technique ds poings de feu pour couvrir ses mains de flamme. Le marionnettiste, surclassé en terme de vitesse, n’eut pas le temps de contrer l’attaque, seulement de placer une de ses marionnettes, celle de droite, sur la trajectoire du poing qui lui traversa l’épaule. Eizo entama bien de reculer, mais n’eut le temps que ce se retrouver à quelques centimètres du poing de son adversaire, la force monstrueuse duquel avait complètement repoussé le pantin, comme refusant son action de bouclier. Presque pris de court, Eizo fit en sorte que son autre pantin déverse une pluie de Kunais sur l’ennemi ralenti. Il ne s’arrêta que la réserve d’armes s’épuisa, et à ce moment il s’écroula au sol avec la marionnette, son bras toujours coincé au travers. Le combat était terminé.

Eizo poussa un soupir. Après l’effort, venait le moment de tout nettoyer. Les corps, certains gravats gênants, le stock des contrebandiers, et bien sûr il lui fallait récupérer tous les restes de ses pantins. Ce qui est sûr, c’est que s’occuper des affaires secondaires en lien avec celle-ci allait lui prendre du temps. Mais le coup le plus urgent allait être en lien avec les informations à propager, sur le sort de ces criminels. C’était un message simple, mais fort : personne ne marche sur les plate-bandes d’Eizo Fuyusaki dans ces souterrains, il en est comme le roi. Content de sa pensée, il s’alluma une cigarette.
Revenir en haut Aller en bas
Uchiha Dattero

Fiche du shinobi
Point de vie:
Eizo Fuyusaki - Mission de rang A - S'aventurer dans les anciens tunnels sous Kumo Left_bar_bleue3000/3000Eizo Fuyusaki - Mission de rang A - S'aventurer dans les anciens tunnels sous Kumo Empty_bar_bleue  (3000/3000)
Points de chakra:
Eizo Fuyusaki - Mission de rang A - S'aventurer dans les anciens tunnels sous Kumo Left_bar_bleue6000/6000Eizo Fuyusaki - Mission de rang A - S'aventurer dans les anciens tunnels sous Kumo Empty_bar_bleue  (6000/6000)
Points RP:
Points RPValeurValeur
Points SociauxPoints Sociaux1500
Points de CombatPoints de Combat1200
Points de MissionPoints de Mission1500
Points d'EventPoints d'Event10
Uchiha Dattero
Administrateur
Messages : 240
Date d'inscription : 10/02/2014
Lun 18 Sep 2017 - 20:35
Uchiha Dattero
Ok, validé. 2700 ryos et ça donne 270 points de mission.
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Naruto RP, la voie du shinobi :: Paperasses :: Les rp et missions-
Sauter vers: