Les missions rang C d'Akira

Ordre de mission:

Après avoir rendue mon épée encore plus puissante qu'elle ne l'était avant, le soleil ne venait de commencer à descendre dans le ciel que maintenant. Je compris que j'avais encore le temps d'effectuer une mission et qu'il me resterait même peut-être un peu de temps libre ce soir pour lire. Je me mis directement en route vers le bureau du Kage et examinait attentivement les offres d'emplois avant de choisir une mission plutôt pépère : allez chercher un onguent de guérison à un village voisin de marchand. Je saisis la missive destinée au chef du village et la rangea dans ma poche avant de sortir du bureau administratif du Kage et de me diriger aux portes du village.

Le trajet vers ce petit village fut relativement court : il se situait à environ une heure de marche, soit vingt minutes de déplacement rapide ninja. Je m'identifiais comme ninja du village caché d'Oto tout en montrant le sceau présent sur mon parchemin puis l'on m'ouvrit les portes du villages, plus petites que celles de mon village caché. Je partis ensuite directement au bâtiment administratif du village. Ce petit hameau me surprit : ce que je pris simplement pour un village s'avéra en réalité être un coin de paradis pour les marchands : des boutiques de loisirs, d'armements, de vêtements, de nourriture… Si l'on voulait trouver un objet rare, il ne faisait nul doute que c'était ici qu'il fallait venir le rechercher ! Certainement le village ou le plus d'objets rare de tout le pays du son se trouvait, cela pour le plus grand bonheur des marchands professionnels qui résidaient ici. Je pénétrais dans le bâtiment ou le chef du village m'attendait.

- Bonjour sire ! Je suis ici au nom du village caché d'Oto. Nous savons que vous êtes un riche village marchand et que vous posséder des onguents de soin. Nous aimerions en réquisitionner un. Voici le message officiel écrit par l'intendant de mon village. Je tendis la feuille au chef.

- Mmmh, je vois… Mais tu sais, nous mourrons de faim de par chez nous, avec la guerre … Nous ne pouvons pas vous donner nos richesses… A vrai dire, nous avons déjà vendu notre stock d'onguents. Désolé. Par contre, tu nous amènes de la bonne viande fraîche… A table !

Puis, une dizaine de soldats civils se tenèrent devant moi, armés jusqu'au dents. Des fous furieux ! Ils désiraient manger un humain venant du village caché de la feuille ? Seulement, j'étais un shinobi et même dix soldats ne pouvaient rien faire contre moi.

- Bande de fous furieux ! Tremblez devant le dragon de rubis !

Puis, j'incantais quelques mudras avant de porter mes mains à ma bouche. Je soufflais tout en tournant sur moi-même. Le souffle n'était pas suffisant pour tuer des hommes protégé dans des armures, mais suffisant pour les envoyer valser contre le mur et me permettre de fuir. Une fois de retour au village de Oto, je fis mon rapport en faisant la requête de punir ce village de fous.

Ordre de mission:

J'aimais la redondance de ses journées. J'avais des idéaux certes, mais n'aimait pas les imprévu : ils étaient trop dangereux. La guerre qui s'annonçait était imprévue par exemple et s'avérerait être dévastatrice. Trop dangereuse, elle retirerait certainement la vie à de nombreux civils. Mais quoi qu'il en soit, je n'étais pas prêt de faire une croix à ma vie tranquille et continuerai donc pour l'instant ma vie normale : aider les civils lors de mission et m'entraîner à me battre, améliorer mes capacités afin de progresser et devenir rapidement un meilleur ninja. C'était le devoir de tout ninja respectable à vrai dire.

Après avoir petit-déjeuner et m'être vêtu de ma tenue de ninja, je partis donc en direction du bureau du Kage afin d'y retrouver une mission, comme tous les matins depuis un petit bout de temps à présent. J'optais pour une mission plutôt tranquille : retrouver le chien d'un seigneur qui s'était perdu dans une forêt à proximité du village caché du son. Je commençais tout d'abord par me rendre en quelques minutes à l'entrée de la clairière. Je constatais que des traces de pas de la taille des pattes d'un chien commençaient ici. Je décidais donc de les suivre, m'enfonçant de plus en plus dans la forêt.

Les arbres étaient… Inquiétants. Il n'y avait que quelques sortes d'arbres différents, mais tous étaient très grands et cachaient le soleil et donnaient un air sinistre à la forêt. Baissant mes yeux au sol, je constatais que les traces de chiens s'arrêtaient brutalement afin de devenir des pas d'hommes. Je pris peur en repensant à la légende des chiens-garous que me racontait mon père quand j'étais petit mais décidais de continuer : je n'allais pas abandonner une mission en plein milieu alors que j'étais si près du but. Je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, doutant même de si je reviendrais à temps pour la nuit. J'arrivais aux abords de la clairière, me cachant derrière un buisson. Deux tentes, et un chien ligoté. Cette version de l'histoire était plus plausible : le chien avait été enlevé, certainement contre une rançon ! Après tout, nombre étaient les brigands qui avaient besoin d'argent.

- Relâcher ce pauvre animal immédiatement ! Ordonnais-je en sortant de ma cachette.

Rapidement, les deux hommes sortirent de leur tente, armée tout deux d'un couteau. Le premier homme sauta sur les épaules du second afin de sauter sur moi, couteau en avant. Je décalais son bras afin de ne pas être blessé le frappait à l'aide de ma technique Shôgekishô, un coup de paume sur un ennemi tombant du ciel. Il devait beaucoup souffrir et gisait à terre, inconscient. Le second brigand pris peur et tenta de s'enfuir mais je le clouais contre un arbre à l'aide de quelques shurikens qui foncèrent vers lui à toute vitesse.

- Que je ne vous revoie plus !

Je partis en direction de Oto. Là-bas, le seigneur nous attendait. Il me paya puis je lui rendis son chien avant de partir écrire mon rapport de mission. J'étais conscient qu'à présent, je devais aller effectuer mon entraînement journalier et c'est d'ailleurs pour cela que je me dépêchais de l'écrire.

Ordre de mission:

Une nouvelle mission de rang C m'avait été décernée. Une mission … Plus large que les dernières. Un ninja avait été porté disparu au cours d'une mission et je devais aller voir ce qu'il en retourne. Seulement, un genjutsu avait été usé et personne n'était capable de se rappeler à quel endroit il était partit en mission. Je devais donc enquêter. Je commençais par partir demander des informations à sa famille, indiquée sur l'ordre de mission. À vrai dire, ses parents étaient morts eux aussi en mission : ainsi, il ne restait plus que sa sœur aînée. Je toquais chez celle qui pourrait me donner toutes les informations dont j'avais besoin. Je commençais mon discours dès qu'elle ouvrit la porte.

- Bonsoir mademoiselle ! Je suis désolé de vous déranger ce soir, mais votre frère ne donne plus de nouvelles suite à sa mission… Sauriez-vous quelque chose ? Demandais-je.

- Malheureusement, je ne puis vous renseigner… Je n'ai plus de nouvelles depuis qu'il est partit affronter des bandits dans la forêt. Désolé de ne pas pouvoir vous aider.

Il s'agissait d'une jeune femme aux cheveux bruns et aux yeux verts. Son visage rond et son sourire angélique la rendait magnifique. Attristé de ne pas pouvoir prendre une collation avec elle, je la remercia et partit au pas de course en direction de la forêt. Je croisais les doigts, espérant de tout cour que le jeune homme n'était pas déjà décédé.

Je commençais à en avoir marre de cette forêt. C'était la deuxième fois que j'y allais aujourd'hui, et elle était toujours aussi sinistre. Je vis plusieurs traces de pas humains allez dans la même direction, et j'en conclus que je devais aller par-là. Après une petite demie-heure de recherches, je trouvais un campement. Un seul homme et une tente. Je fus pris d'un mauvais pressentiment. Effectuant quelques mudras, un clone de terre au corps similaire au mien apparut.

D'un ordre mental que je lui donnais, il fonça vers la tente et fonça dedans en disparaissant. Une fois la tente envolée, je constatais qu'un homme était ligoté à l'intérieur. Je courais en direction du bandit et lui donna un uppercut afin de l'assommer, puis déliait les liens du pauvre homme prisonnier… Qui me frappa ! Comment pouvais-je être aussi bête ? L'homme que j'avais attaqué était un collègue et avait réussit à vaincre le bandit que l'on recherchait ! D'un coup de sabre bien placé, je mis le bandit hors d'état-de-nuire. J'écrivis un rapport de mission et touchais ma paie, heureux d'avoir mené à bien la totalité de mes activités journalières.