Mission Rang B "Une union de dernière minute! " (PV Mirai Yukan)

Il faisait beau en ce merveilleux jour à konoha, une brise venait vous caresser doucement la nuque procurant une sensation de bien-être, ce n’est pas comme à Kiri, à peine vous aurez posé les pieds au sol que le froid vous aura consumé. Des pies se mirent à chanter en synchronisation sur le rebord de la fenêtre, d’une mélodie des plus radieuses. Ahh quoi de mieux pour commencer cette journée... Ouais si j’etais pas en affaler comme un porc dans mon lit... Mais merde, j’étais si bien dans mon lit, ce coussin si moelleux qu’il ferait jalouser la moitié du village... Ça aurait été une belle grasse matiné, si une de ces pies ne serait pas rentré et se posait sur mon visage en chantant à tue tête... À peine avais je ouvris les yeux afin de prendre conscience de la situation, que je la vis là... Ce fut un moment de silence. Puis l, prit deux peurs, je m’étais débattu dans ma couverture jusqu'à me retrouver au sol comme un idiot. La voyant tentant de s’enfuir par la fenêtre, je me suis rué vers elle afin de l’attraper, mais elle avait pris la fuite. C’est alors qu'en la voyant prendre son envol dans le ciel, je levai mon poing en sa direction.


Pie de malheur, je t’aurai bon sang!

Bref, ma faim me mena dans la cuisine afin de déguster quelques bols de ramen delicatement préparée par un marchand non loin. Il m’aura fallu l’espace d’un instant pour m’engloutir cette quantité de nourriture. Il fallait dire que j’avais faim...

“Bon aujourd’hui, je suis chaud pour faire une mission, voyons le calendrier pour voir si aujourd’hui j’ai entrainement ou pas”

Effectivement aujourd’hui je n’avais pas entrainement, j’avais donc toute la journée pour moi et pouvais profiter pleinement d’une mission afin de tester mes capacités... Ni une ni deux, j’enfilai la combinaison que le clan Maito m’avait refilée, une combinaison une pièce de couleur verte et des bandages aux mains. J’étais un membre à part entière de leur clan, ils m’ont aidés à atteindre un certain niveau en taijutsu et me vêtir de leurs tenues c’était en quelque sorte les honorer. Je ne pouvais pas porter la tenue que mon père m’avait laissé, celle typique des Serizawa, entièrement noir et blanc. Il ne fallait pas que j’attire l’attention sur moi.

Enfin prêt, il fallait que je me dirige vers les panneaux en ville afin de prendre conscience des missions du village. Sur le chemin je pris le temps de saluer chacun des membres du village et les aider s’il avait besoin d’une autre main.

Bonjour Monsieur Ichiraku! Comment allez-vous?

Bonjour Madame, laissez-moi-vous aider à porter sa!

Tiens petit ton ballon perché, fais attention la prochaine fois haha

Vous êtes mendiant. Tenez. Je n’ai pas fini mes nouilles de ce matin, ça me fait plaisir!

Après cette traversé où j’ai su apporter mon aide à des villageois, le panneau se présentait devant moi. Scrutant la liste des missions, une retirait mon attention “Des enfant qui font partie jouer en forêt se sont fait enlever par des brigands.” À peine avais je pris le temps de me retourner, qu’un autre garçon se trouva sur ma route. Le sourire aux lèvres, le pouce en l’air en sa direction. Mon bras droit sur le bras dont le pouce en l’air était levé, j’avais ma pose n°1, celle du vainqueur!

Bonjour! T’est là pour une mission aussi?

Ces derniers temps, j'étais resté au village sans vraiment être actif dans mon rôle de ninja du village. Il fallait dire aussi qu'avec l'ère de paix qui régnait, les ninjas se la coulait douce et ce n'était pas si mal. Cependant, il fallait bien ne pas se laisser gagner par l'oisiveté car on était jamais à l'abri d'un quelconque danger. Nous les ninjas devions toujours tenir notre corps en haleine grâce à nos entrainements ou encore en effectuant des missions. En parlant de mission, j'avais arrêté d'en faire pour une période d'un mois parce que ma mère s’inquiétait trop quand je partait en mission. Je lui avait promis de rester au village pour un mois sans faire de mission et en échange elle devrait aussi faire un effort pour ne plus tenter de m'empêcher d'aller en mission à l'avenir. Justement, aujourd'hui les un mois étaient écoulé et je pouvais reprendre mes activités.

Voulant me renseigner sur les missions qui étaient disponible, je me rendait au palais du hokage, voir le tableau des missions qui n'avait pas encore été assigné à des ninjas pour cause de manque dans les effectif ou autre. Là je vis une annonce qui parlez de la disparition d'enfant. Apparemment des brigands en était la cause et réclamait une rançon. Les parents déboussolés avaient demandé l'aide du village pour ramener leurs enfants. C'était décidé, je me dévouerait pour celle là. J'avais entendu une histoire sur mon ancêtre qui aurait aussi secouru des enfant aussi enlevé par des brigands. Faut croire que les temps n'ont pas véritablement changé.

Je me préparait à y aller quand je vis un garçon au style étrange qui me fixait avec une pose que je trouvais assez cool. Il était venu ici dans l'espoir de trouver une mission à faire comme moi en fait. Je lui rendit son sourire avant de répondre.

«Salut ! En effet, je suis là pour une mission et j'ai même trouvé celle que je vais faire.»

Je lui montrait du doigt la dite mission avant de lui poser ma question.

«Et toi ? tu as déjà trouvé ? Si c'est pas le cas je crois que deux ninjas ne seront pas de trop pour ramener ces enfants auprès de leurs parents qu'en dis tu ?»

Sa tombe bien mec, c’était la même mission que j’ai choisie!

Son sourire amical et sa détermination en disaient long sur lui, c'était quelqu’un de fort sympathique et très aimable, je ne savais pas grand-chose de lui, mais je pouvais lui faire confiance, en espérant que se serai réciproque. Je n’avais jamais eu à faire de mission en la compagnie d’un ninja du village ou d’ailleurs. Ça pouvait être une bonne expérience, en plus de cela il avait l’air d’être dans la même tranche d’âge que moi, je pense qu’on pourra bien s’entendre pour cette mission... Mais mon objectif premier par dessus tous, c’est de lui montrer que c’est moi qui deviendrai le Shinobi le plus puissant du village et qui aurait par la même occasion le but de faire partir de l’élite de Konoha ou pourquoi ne pas devenir Hokage. Mais si le village lui-même apprendrait que mon clan a fait partie de l’armée libre des Shinobi, qu’en sera-t-il de moi? Je laissais peu de place dans mon esprit pour le futur, j’avais besoin de vivre le présent autant que je le pouvais. Je passai une main dans ma chevelure, l’autre main reposait sur son épaule, et d’un clin d’œil.

On y va, tu me suis?

Aussitôt je le contournai, et ma direction se porta sur la forêt... Je crois avoir une idée d’où ils pourraient bien se cacher ces enfoirés de bandits. Détenir des enfants, mais quels êtres pouvaient avoir recours à ses moyens, ils n’étaient surement dotés d’aucune conscience.
Alors que nos bonds d’arbre à arbre ne se faisaient à qu'a peine entendre dans la forêt, on n’avait à peine eu le moment de se connaitre...

Dis-moi c’est quoi ton nom ? J’avais entendu parler d’un Jinchuuriki, et tu lui ressembles énormément Ah laisse tomber je dois confondre

Une plaisante coïncidence, lui aussi été prêt pour aller sauver ces pauvres gamins. On avait eu la même idée, il devait être quelqu'un de bien. D'autres auraient pensé que cette mission était trop simple et n'apporterait aucun gloire a celui qui la ferrait. Mais lui il veut aider ces personnes même si la récompense à la fin était inexistante. Sûrement que les parents n'avaient pas de quoi récompenser les bonnes âmes qui voudrait bien les aider. Je me fichait bien des récompense, des enfants étaient en danger donc pour moi, pas le temps de réfléchir trop longtemps.

Nous étions en route dans la forêt à la recherche des enfants et de leurs ravisseurs. D'après mon compagnon, les bandits seraient dans le coin. Pendant que nous étions en chemin, il me demanda mon nom. C'était vrai, nous ne nous sommes même pas présenté avant de partir pour la mission. C'était un vrai manque à la base même de la courtoisie. Je ressemblais donc à un hôte.

«Je suis Miraï Yukan et oui j'ai depuis peu en moi l'esprit de Isobu qui avait été en mon arrière grand-père avant moi. Mais passons et toi c'est quoi ton nom ?»

Je n'avais pas l'intention de parler de moi pour le moment. Je voulais juste savoir qui avait bien voulu venir avec moi pour porter secours a des personnes sans défense. En attendant sa réponse, de faibles bruits arrivèrent à mes oreilles. Mon ouïe de Yukan me servait bien dans ce genre de situation. C'était des pleurs d'enfants. Puis plus rien. Les pleurs avaient cessé. Je savais qu'ils n'étaient plus très loin. Après avoir présenté les civilités avec mon compagnon, je lui donnaient les informations que j'avais.

«Je viens d'entendre des pleurs d'enfant, c'était assez faible mais j'ai pus les entendre, ça venait de par la bas. On y va !»

J'avais commencé a prendre la direction de la provenance des bruits suivit de mon nouvel ami.

Mon regard se stoppa net sur lui, alors il était bien celui que je pensais, Isobu était bien en lui et il n’était rien d’autre un descendant Du hokage du nom Ishi Yukan... Il était donc unique en son genre, sa compagnie ne peut être que meilleure... Tout d’un coup il stoppa net sa phrase comme s'il cherchait à cacher quelque chose, c’est alors qu’il me retourna la question. Mentir n’était encore que ma seule possibilité, d’une voix hésitante.

Euh... Moi?!.. Ha... Hayashi Shöta...

S’il connaissait bien les habitants du village, aucun ne pouvait porter ce nom, celui-ci étant absent dans les fiches de recensement du village. Mais bon j’ai une excuse et bon il ne me connaît qu’à peine donc pas de panique. Alors que nos bonds devenaient de plus en plus rapides, un bruit sembla venait le titiller les tympans. J’en ai déduit cela de par l’expression du visage qu’il prit, sa concentration se porta sur une direction qu’il prit aussitôt. Pas le choix, je devais le suivre et lui faire conscience, bifurquant sur un autre chemin, nos bonds continuèrent jusqu’à ce que les cris des enfants deviennent de plus en plus audibles. Il avait totalement raison, ces enfoirés de bandits se trouvaient non loin. Soudain je m’arrêtai et lui de même, les bruits étaient sous nos pieds.

Pas mal! T'a géré de fou! Ces mecs sont justes en bas... On établit un plan? Ils doivent être... attend... une bonne dizaine

Certains détenaient les enfants et d’autres étaient postés à la surveillance. Je n’attendais seulement qu’il établisse un plan qui nous conviendrait

Hayashi Shôta hein ?! Je connaissais maintenant le nom de mon coéquipier du moment. Nous continuons notre chemin par la voie des airs, il m'avait suivit sans broncher quand je lui avait dis que des bruits suspects venait de l'endroit où nous nous rendons. Il me faisait donc assez confiance pour me suivre sans poser aucune question, je devais lui rendre la pareil pour le reste des évènements. Nous étions arrivé à l'endroit des bruits, nous étions juste au dessus de ces parias.

Shôta me f&licitait pour avoir pu repérer et identifier les pleurs des gamins d'aussi loin. Pour moi ce n'était pas vraiment quelque chose d’extraordinaire vu mes capacités naturelles. J'observais les ennemis qui étaient en pleine surveillance. Il en y avait cinq dont deux armés de gros gourdins tandis que les autres semblaient avoir des sortes d'arbalètes. Nous devions être très prudents pour ne pas se faire blesser. Je commençais à faire un debriefing avec Shôta.

«Bon nous y voilà. Ces types semblent bien armé. Tout d'abord on doit mieux se connaitre si on veux travailler ensemble donc on va faire chacun un bref résumé de nos capacité etc... Je commence. Je me débrouille assez bien en ninjutsu j'ai assez de panel de technique pour nous couvrir en cas de coups dur. Je maitrise assez bien le genjutsu si nous devons les distraire avant de se jeter dans la mêlée. C'est à peu prêt tout à toi.»

Ah! Le mec était assez complet, il avait un panel de technique dans tous les domaines ce qui faisait de lui un coéquipier remarquable. C’est quand il me posa une question concernant mes capacités de ninja qu’il eut un instant malaisant de ma part...

Ouah tu m'a l’air assez calé mec! Euh... Alors moi ... Je n’ai aucun talent pour ces domaines... A vrai dire je n’ai jamais été bon. Donc ouais, je ne maitrise ni le ninjutsu, ni le genjutsu... Mais en revanche je suis inégalable aux corps-à-corps... Je maitrise le taijutsu comme personne... Donc s'il faut faire de grosse percée dans leurs défenses, je pourrai m’occuper de ça lui avais je dit d'un sourire.

À distance je ne pouvais rien faire face à ses bandits, il faudrait que je m’approche d’eux pour voir de quoi je suis capable. C’est alors que logiquement, il fallait que je m’occupe de ces hommes avec des gourdins à la main. Ça ne devrait pas être compliqué.

Je te propose: Tu t’occupes de distraire ceux aux arbalètes avec une de tes techniques de genjutsu. Tu les attires non loin et tu t’occupes d’eux avec ton ninjutsu... Moi je m’occupe des autres, je n'en aurai que pour quelques secondes. Quand tu sauras revenu j’en aurai fait un tas ahah

Mon plan semblait logique, et j'espérais qui lui convient amplement. L'expression de mon visage pris une tournure sérieuse, ma concentration était devenu maximal. On aurait du mal à distingué ma réelle personne tellement le garçon souriant n'était en aucun cas identique à celui sérieux.

Donne moi le signal quand tu es prêt.

Shôta ne maitrisait aucun art ninja basique mis à part le taïjutsu si je me référait à ce qu'il me disait. Cela signifiait qu'il serait bien obligé de se mettre en danger lors de cette intervention vu qu'il était incapable de se battre à distance. C'était un sérieux problème car je n'avais pas vraiment envie qu'il se fasse blesser. Mais en fin de compte 'il était parvenu à devenir ninja juste grâce à sa maitrise du taïjutsu alors il devait vraiment être très fort. De plus il mis au point un plan qui consistait à lui laisser les ennemies incapable de se battre à distance et de m'occuper de ceux avec des armes de jet et cela me convenait parfaitement. Cependant, il devait redoubler de prudence car, un seul coup de ses trucs massives et il serait dans un piteux état. Ce n'était pas le moment de m'inquiéter pour lui, mais ur les enfant captifs, surtout avec l'ai qu'il avait en ce moment je savais qu'il était prêt.


«Dans ce cas je te laisse les deux la bas moi je me charge de neutraliser les trois autres. Mais surtout il faudra le faire dans la plus grande discrétion histoire de ne pas alerté ceux resté à l'intérieure avec les gamins. On ne sait pas ce qu'ils pourraient faire si ils se sentent pris aux pièges. Bon c'est parti !»

Je me concentrait sur mes adversaires et sans qu'il comprenne ce qui était en train de leur arriver, des centaines de plumes se mirent à tomber du ciel. Surpris, il se mirent à bailler et à tomber de fatigue tout les trois. Je me dépêchait alors de les rejoindre et de les lier à un arbre grâce à mon Mokuton. Voila un travail rapide et efficace. Pendant ce temps Shôta devait être en train e régler leur compte aux deux autres. Maintenant le plus dur était à venir. Nous devions redoubler de prudence car nous nous apprêtions à pénétrer dans leur repère. La première partie du travail avait été facile, mais je savais que la suite ne le serait pas.

aides au combat:

Il avait donc fait son choix et il concordait parfaitement avec les miens. Alors qu’il décidait de rester en altitude afin de s’occuper des ennemies qui lui étaient destinées.

On y va!

Je pris mon envol afin de rejoindre une branche assez robuste au-dessus de leurs têtes. Ils ne me virent pas. Alors qu’ils parlèrent ensemble de projet douteux et de ce qu’ils empocheraient à livrer ces pauvres gamins à des marchands peu scrupuleux, je me laisse alors tomber afin de me retrouver dans leurs dos. Ils m’avaient bien entendu arriver, le premier se mit à vouloir me frapper de son gourdin en décrochant un coup en diagonale. Mais il était bien lent dans ses mouvements, il ne m’a suffi que d’esquiver en baissant légèrement la tête, c’est en me penchant que j’ai décroché alors un coup de poing droit assez puissant dans sa mâchoire afin de l’assommer du premier coup l’empêchant alors de crier à l’aide aux autres. Dans la foulée, profitant du fait que j’étais penché, j’ai saisi cette occasion pour pivoter avec un angle de 360 degrés, enchainant ainsi d’un coup de pied retourné en plein dans le visage de l’autre adversaire le mettant K. Ô instantanément également. Utiliser des techniques ferait un boucan énorme. J’avais réussi à les coucher en un rien de temps, sans alerter les autres.

Après avoir réussi mon objectif, il fallait rejoindre Mirai afin de pénétrer dans le repaire de l’ennemi, cette fois-ci, ça ne sera pas une partie de plaisir. Ils devaient être nombreux, le combat s'annonce rude. Nous voilà face à la porte.

Mirai... T’est prêt? On n'a pas le droit à l’erreur maintenant

Combat:

Je savais fort bien que l'intérieur était bondé de malfrats, de plus nous ne savions pas encore où se trouvaient les enfants. Il allait falloir mettre en place un véritable travail d'équipe. Je savais plus ou moins comment nous allions pouvoir pénétrer de manière complétement incognito, mais vu que mon partenaire souffrait de carence en ninjutsu, je laissais tomber le plan qui consistait au départ à ce qu'il se fasse passer pour un membre du groupe de bandits et tente une quelconque distraction grâce au Henge no Jutsu tandis qu'avec mon instinct et mon ouïe je recherchait la cachette des gamins. Mais bon on allait procéder autrement.


«Shôta j'ai quelque bombes fumigène avec moi, je vais t'en donner quelque une histoire que tu les utilise. Je crois que tu comprends mon plan.»

Nous devions agir vite car les bandits que nous avions vaincu pouvait se réveiller à n'importe quel moment. Je j'ouvris la porte du repère tout doucement avant de balancer à l'intérieur une bombe fumigène afin de gêner la vision de ceux l'intérieur. Je pénétrait ensuite dans a pièce suivit de près par mon ami qui ne devait pas trop me quitter si il voulait se repérer dans cette fumée. J'étais concentré à 100% sur les bruits aux alentours. J'arrivais aisément à tout entendre et à tout dissocier afin de savoir les bruits proche et ceux plus lointain. Je réussi ainsi à éviter les coups que les brigands donnait à l'aveugle. Ils étaient en gros en pleine panique et se frappaient mutuellement en espérant ainsi toucher les intrus. Mais c'était peine perdu.

«Attention derrière toi!»

Avais-je crié à Shôta en entendant quelqu’un venir vers lui. Il pouvait s'en débarrasser si il savait d'où il venait. Nous avancions dans ce chaos en essayant de trouver une autre pièce.

aides au combat: